Le grand Magal de Touba, même s'il intervient cette année 2024, dans un contexte de difficultés croissantes, au sein des fidèles mourides, la détermination est plus forte que jamais.
Malgré les temps durs, la préparation du grand jour de Cheikhoul Khadim se poursuit avec une ferveur renouvelée.
Depuis le début du mois de Safar, qui marque le dernier virage vers le grand Magal, les disciples se consacrent pleinement aux préparatifs. Chaque jour, après la prière du crépuscule, des récitals de Coran et des chants religieux sont presque tenus par les mouride notamment dans la ville Sainte comme à Massalikoul Jinaan aussi, un lieu central de dévotion pour les mourides. Ces rassemblements témoignent d'une foi inébranlable, même face aux défis actuels.
Serigne Djily Fatah Mbacké, petit-fils de Cheikhoul Khadim, exprime un optimisme résolu : « Nous avons connu pire avec le COVID-19, lorsque tout était bloqué et que les rassemblements étaient interdits. Pourtant, nous avons célébré le Magal de Touba cette année-là. Alors, je suis convaincu que malgré les difficultés, nous continuerons à faire le Safar jusqu’au grand jour. » Ces propos sont soutenus par Serigne Balla, gestionnaire de Massalikoul Jinaan et Tahibou, un fidèle mouride de la mosquée.
Les disciples font preuve d’une résilience remarquable, bravant vents et marées, voire les inondations, pour accomplir leurs devoirs et répondre à l'appel du fondateur du mouridisme. Cette année, comme les précédentes, ils montrent que la foi et la détermination transcendent les obstacles, et que le grand Magal de Touba sera célébré avec la même ferveur et dévotion qui le caractérisent.
Malgré les temps durs, la préparation du grand jour de Cheikhoul Khadim se poursuit avec une ferveur renouvelée.
Depuis le début du mois de Safar, qui marque le dernier virage vers le grand Magal, les disciples se consacrent pleinement aux préparatifs. Chaque jour, après la prière du crépuscule, des récitals de Coran et des chants religieux sont presque tenus par les mouride notamment dans la ville Sainte comme à Massalikoul Jinaan aussi, un lieu central de dévotion pour les mourides. Ces rassemblements témoignent d'une foi inébranlable, même face aux défis actuels.
Serigne Djily Fatah Mbacké, petit-fils de Cheikhoul Khadim, exprime un optimisme résolu : « Nous avons connu pire avec le COVID-19, lorsque tout était bloqué et que les rassemblements étaient interdits. Pourtant, nous avons célébré le Magal de Touba cette année-là. Alors, je suis convaincu que malgré les difficultés, nous continuerons à faire le Safar jusqu’au grand jour. » Ces propos sont soutenus par Serigne Balla, gestionnaire de Massalikoul Jinaan et Tahibou, un fidèle mouride de la mosquée.
Les disciples font preuve d’une résilience remarquable, bravant vents et marées, voire les inondations, pour accomplir leurs devoirs et répondre à l'appel du fondateur du mouridisme. Cette année, comme les précédentes, ils montrent que la foi et la détermination transcendent les obstacles, et que le grand Magal de Touba sera célébré avec la même ferveur et dévotion qui le caractérisent.
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