Cet après midi, l'ancien président de la République a réussi à ameuter toute la République. Me Abdoulaye Wade avait convié ses partisans à une marche dont le départ était prévu à la Place de l'Indépendance pour connaitre son épilogue devant le ministère de l'Intérieur.
Une fois à la place Washington où siège le premier flic du pays, une lettre de protestation contre la lenteur accusée par la distribution des cartes d'identité biométriques aux électeurs devait être remise à Abdoulaye Daouda Diallo. Mais les autorités administratives de Dakar n'ont pas laissé faire. Le préfet de Dakar, Serigne Babacar Kane, a opposé l'arrêté Me Ousmane Ngom à l'ancien président du Sénégal. Lequel arrêté veut que des espaces comme le Place de l'Indépendance n'accueille pas de manifestations politiques. Et des mesures d'accompagnement ont été prises pour que Wade et sa suite n’accédèrent pas à la Place de l'Indépendance. Toutes les artères de la ville de Dakar à même de donner sur cette place mythique ont été “bouchées”. Un déploiement impressionnant de forces de l'ordre a quadrillé le lieu de rendez vous des libéraux de sorte à ne permettre à ces derniers d'arriver à leur fins. Les quelques militants libéraux qui auront réussi à s'y rendre n'ont pas eu l'opportunité de s'adresser convenablement à la presse. Trois d'entre eux dont une investie sur la liste départementale de la liste départementale de la Coalition Gagnante Wattu Sénégaal en ont fait les frais. Cueillis manu militari, ils ont été acheminés devant nos caméras au Commissariat central de Dakar. Talkie walkie à la main, le sous préfet de Dakar plateau veillait à ce que l'interdiction du préfet ne soit pas bravé par les libéraux. Un peu plus loin sur l'avenue Georges Pompidou, des Karimistes, à leur tête Amina Sakho se signalent. Dans leur tee shirts à l'effigie du pape du Sopi, ils tentent de parler aux journalistes. Mais c'est sans compter sur la détermination des policiers de les en dissuader. Ainsi, la première grenade lacrymogène est lancée en direction des Karimistes qui ne perdent pas de temps pour se fondre dans les ruelles. Les journalistes ont même failli en prendre pour leur grade. Au même moment, Me Abdoulaye Wade et son cortège sont bloqués à hauteur de la Poste de Médina avant qu'une salve de grenade lacrymogène ne les oblige à rebrousser chemin. Finalement, le prédécesseur de Macky Sall retourne à Fann, chez Me Madické Niang où il s'est adressé à la presse nationale et internationale.
Une fois à la place Washington où siège le premier flic du pays, une lettre de protestation contre la lenteur accusée par la distribution des cartes d'identité biométriques aux électeurs devait être remise à Abdoulaye Daouda Diallo. Mais les autorités administratives de Dakar n'ont pas laissé faire. Le préfet de Dakar, Serigne Babacar Kane, a opposé l'arrêté Me Ousmane Ngom à l'ancien président du Sénégal. Lequel arrêté veut que des espaces comme le Place de l'Indépendance n'accueille pas de manifestations politiques. Et des mesures d'accompagnement ont été prises pour que Wade et sa suite n’accédèrent pas à la Place de l'Indépendance. Toutes les artères de la ville de Dakar à même de donner sur cette place mythique ont été “bouchées”. Un déploiement impressionnant de forces de l'ordre a quadrillé le lieu de rendez vous des libéraux de sorte à ne permettre à ces derniers d'arriver à leur fins. Les quelques militants libéraux qui auront réussi à s'y rendre n'ont pas eu l'opportunité de s'adresser convenablement à la presse. Trois d'entre eux dont une investie sur la liste départementale de la liste départementale de la Coalition Gagnante Wattu Sénégaal en ont fait les frais. Cueillis manu militari, ils ont été acheminés devant nos caméras au Commissariat central de Dakar. Talkie walkie à la main, le sous préfet de Dakar plateau veillait à ce que l'interdiction du préfet ne soit pas bravé par les libéraux. Un peu plus loin sur l'avenue Georges Pompidou, des Karimistes, à leur tête Amina Sakho se signalent. Dans leur tee shirts à l'effigie du pape du Sopi, ils tentent de parler aux journalistes. Mais c'est sans compter sur la détermination des policiers de les en dissuader. Ainsi, la première grenade lacrymogène est lancée en direction des Karimistes qui ne perdent pas de temps pour se fondre dans les ruelles. Les journalistes ont même failli en prendre pour leur grade. Au même moment, Me Abdoulaye Wade et son cortège sont bloqués à hauteur de la Poste de Médina avant qu'une salve de grenade lacrymogène ne les oblige à rebrousser chemin. Finalement, le prédécesseur de Macky Sall retourne à Fann, chez Me Madické Niang où il s'est adressé à la presse nationale et internationale.
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