Au total, sept accords auront été signés par les Etats Français et Sénégalais lors de la visite d’Etat du Président Macky Sall à Paris. Ministres Sénégalais et autorités françaises ont matérialisé les conventions portant sur près de 200 millions d’euros à l’Elysée, ce mardi. Il s’agit de prêts destinés à des investissements avec une productivité placée sur le long terme. Pour autant qu’il ne s’agisse que de prêts et non de dons, le Président François Hollande a tenu à préciser que Paris est loin d’être moins « généreuse » que jadis. « La France, dira-t-il, a même augmenté son aide publique au développement dans le budget de 2017 », avant de préciser que son pays est devenu « plus ingénieux ».
Et à lui d’expliquer : « C'est-à-dire qu' avec les moyens financiers qu’elle peut déployer, elle finance plus de projets. Nous recourons à des partenariats qui peuvent être innovants au sens de ce que nous faisons avec l’AFD, avec la banque publique d’investissement ou même avec la banque Européenne d’investissement. Et avec des partenariats publics-privés, des prêts qui peuvent être particulièrement avantageux. On peut montrer une attention soutenue à l’égard des projets de l’Afrique sans pour autant utiliser les mêmes méthodes et les mêmes instruments que par le passé. Ce qui compte, c’est de financer des projets qui vont avoir une rentabilité à long terme. Prenez l’exemple du train, de l’énergie renouvelable, de l’eau ». Il ajoutera qu’il reste évident qu’il n'y a pas de possibilité de trouver, pour le court terme, des financements pour le Sénégal, mais aussi pour l’ensemble des partenaires de la France.
Et à lui d’expliquer : « C'est-à-dire qu' avec les moyens financiers qu’elle peut déployer, elle finance plus de projets. Nous recourons à des partenariats qui peuvent être innovants au sens de ce que nous faisons avec l’AFD, avec la banque publique d’investissement ou même avec la banque Européenne d’investissement. Et avec des partenariats publics-privés, des prêts qui peuvent être particulièrement avantageux. On peut montrer une attention soutenue à l’égard des projets de l’Afrique sans pour autant utiliser les mêmes méthodes et les mêmes instruments que par le passé. Ce qui compte, c’est de financer des projets qui vont avoir une rentabilité à long terme. Prenez l’exemple du train, de l’énergie renouvelable, de l’eau ». Il ajoutera qu’il reste évident qu’il n'y a pas de possibilité de trouver, pour le court terme, des financements pour le Sénégal, mais aussi pour l’ensemble des partenaires de la France.
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