Le report de la date d’ouverture des restaurants de l’université Gaston Berger de Saint-Louis par les autorités du Centre régional des œuvres universitaires de Saint-Louis, risque de causer beaucoup de perturbations au niveau des études. A la suite d’une année invalide, causée par une longue grève des Sanariens suite au décès de Fallou Sène, les étudiants de l’UFR des Sciences Juridiques et Politiques, première Unité de Formation et Recherche ont décidé de ne pas respecter la note de démarrage des cours prévue ce 15 octobre.
À en croire certains étudiants de l’UFR SJP ce report de la date de l’ouverture des restaurants a poussé beaucoup d’étudiants à ne pas répondre à l’appel des autorités académiques.
De l’avis de Fatou Cissé étudiante en deuxième année de droit, originaire de Tivaouane, il est hors de question de revenir à l’UGB sans l’ouverture des restaurants : « la situation ne peut être que déplorable. On avait déjà préparé nos bagages pour retourner au campus, mais il est vraiment impensable d’y retourner sans rien à manger », dit-elle. Celle-ci était déjà à Saint-Louis pour la reprise des cours. Mais elle est forcée de retourner chez elle car au campus social, rien n'est fonctionnel. Les villages sont toujours fermés au grand dam des pensionnaires.
Pour Mlle Cissé la direction ne respecte pas vraiment les étudiants : « On est très en retard au niveau des études. Ce problème devait être réglé pendant les vacances. C’est vraiment lamentable pour une université comme l’UGB, jadis réputée comme une université d’excellence, d’attendre la rentrée pour nous parler d’une dette de plus d’un milliard », se désole-t-elle.
Et pourtant, l’administration de l’UFR des SJP est fin prête pour accueillir les étudiants. Selon nos sources, les professeurs sont prêts pour un démarrage effectif des cours. La même désolation et le même cri du cœur sont notés dans toutes les autres Unités de Formation et de Recherche...
À en croire certains étudiants de l’UFR SJP ce report de la date de l’ouverture des restaurants a poussé beaucoup d’étudiants à ne pas répondre à l’appel des autorités académiques.
De l’avis de Fatou Cissé étudiante en deuxième année de droit, originaire de Tivaouane, il est hors de question de revenir à l’UGB sans l’ouverture des restaurants : « la situation ne peut être que déplorable. On avait déjà préparé nos bagages pour retourner au campus, mais il est vraiment impensable d’y retourner sans rien à manger », dit-elle. Celle-ci était déjà à Saint-Louis pour la reprise des cours. Mais elle est forcée de retourner chez elle car au campus social, rien n'est fonctionnel. Les villages sont toujours fermés au grand dam des pensionnaires.
Pour Mlle Cissé la direction ne respecte pas vraiment les étudiants : « On est très en retard au niveau des études. Ce problème devait être réglé pendant les vacances. C’est vraiment lamentable pour une université comme l’UGB, jadis réputée comme une université d’excellence, d’attendre la rentrée pour nous parler d’une dette de plus d’un milliard », se désole-t-elle.
Et pourtant, l’administration de l’UFR des SJP est fin prête pour accueillir les étudiants. Selon nos sources, les professeurs sont prêts pour un démarrage effectif des cours. La même désolation et le même cri du cœur sont notés dans toutes les autres Unités de Formation et de Recherche...
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