La fête du 1er mai a été célébrée hier mercredi partout dans le monde, notamment au Sénégal. À cette occasion, l'ancien Premier ministre Abdoul Mbaye a lancé un message fort à l'endroit des autorités, mais également aux syndicalistes.
"Ce jour ne doit surtout pas être un moment banal fait de beaux discours pavés de bonnes intentions, ou de folklore habituel. Certes, il faut fêter le travail, certes, il faut saluer les évolutions dans la longue liste des acquis du droit syndical et rappeler des doléances restant à satisfaire. Mais nous devons surtout sublimer la réflexion sur le sens du travail digne et honnête qui doit être élevé au rang de la religion dans sa pureté, dans sa sincérité et surtout dans son caractère de droit humain élémentaire et imprescriptible, accessible et garanti à tous, qu’il soit salarié ou non...
Le travail doit être l’un des premiers droits de l’homme et encore davantage sous nos cieux où le minimum social ne peut encore être une charge publique. Nous devons à travers cette journée du 1er mai changer radicalement d’orientation afin de travailler sur la perception, mais aussi sur l’effectivité du travail pour redonner notamment à notre jeunesse un espoir véritable et durable de rester dans ce pays, mais aussi faire comprendre à nos compatriotes les vertus du travail, seule façon de gagner dignement sa vie et de se libérer individuellement et collectivement pour le salut de notre nation.
C’est un jour pour rappeler notre devise : TRAVAIL, ÉTHIQUE, ESPOIR", a-t-il écrit sur sa page Facebook.
"Ce jour ne doit surtout pas être un moment banal fait de beaux discours pavés de bonnes intentions, ou de folklore habituel. Certes, il faut fêter le travail, certes, il faut saluer les évolutions dans la longue liste des acquis du droit syndical et rappeler des doléances restant à satisfaire. Mais nous devons surtout sublimer la réflexion sur le sens du travail digne et honnête qui doit être élevé au rang de la religion dans sa pureté, dans sa sincérité et surtout dans son caractère de droit humain élémentaire et imprescriptible, accessible et garanti à tous, qu’il soit salarié ou non...
Le travail doit être l’un des premiers droits de l’homme et encore davantage sous nos cieux où le minimum social ne peut encore être une charge publique. Nous devons à travers cette journée du 1er mai changer radicalement d’orientation afin de travailler sur la perception, mais aussi sur l’effectivité du travail pour redonner notamment à notre jeunesse un espoir véritable et durable de rester dans ce pays, mais aussi faire comprendre à nos compatriotes les vertus du travail, seule façon de gagner dignement sa vie et de se libérer individuellement et collectivement pour le salut de notre nation.
C’est un jour pour rappeler notre devise : TRAVAIL, ÉTHIQUE, ESPOIR", a-t-il écrit sur sa page Facebook.
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