Ce lundi 9 septembre, devant la presse, Oumar Sow membre de l’organisation du nouveau parti d’Amadou Ba a dénoncé la présence de véhicules de la gendarmerie aux abords du domicile de l’ancien ministre de l’Éducation nationale, Cheikh Omar Hanne, situé près de l’aéroport Léopold Sédar Senghor. La présence de ces véhicules a provoqué une vague de réactions, tant parmi les proches de l'ancien ministre que parmi les partisans d’Amadou Ba.
Omar Sow a exprimé son indignation face à cette présence jugée « illégale et inopportune ». Selon lui, le domicile de Cheikh Oumar Hanne, qui sert également de quartier général pour les partisans d’Amadou Ba, ne devrait pas être soumis à une surveillance de ce genre sans justification claire et préalable. Il a fermement déploré cette situation, laissant entendre qu'elle pourrait être interprétée comme une tentative d'intimidation politique.
« La présence de ces forces de sécurité devant le domicile de l’un des nôtres est tout simplement inacceptable. Nous sommes dans un État de droit, et ce genre d’agissements ne peut que ternir l’image de nos institutions. Nous demandons des explications immédiates », a-t-il martelé devant la presse, visiblement agacé par la tournure des événements.
Interrogées sur les raisons de cette mobilisation inhabituelle des gendarmes, Oumar SOW, pour l’heure, n’a aucune explication officielle pour la présence de ces gendarmes, laissant la situation entourée d'un flou inquiétant.
Affaire à suivre.
Omar Sow a exprimé son indignation face à cette présence jugée « illégale et inopportune ». Selon lui, le domicile de Cheikh Oumar Hanne, qui sert également de quartier général pour les partisans d’Amadou Ba, ne devrait pas être soumis à une surveillance de ce genre sans justification claire et préalable. Il a fermement déploré cette situation, laissant entendre qu'elle pourrait être interprétée comme une tentative d'intimidation politique.
« La présence de ces forces de sécurité devant le domicile de l’un des nôtres est tout simplement inacceptable. Nous sommes dans un État de droit, et ce genre d’agissements ne peut que ternir l’image de nos institutions. Nous demandons des explications immédiates », a-t-il martelé devant la presse, visiblement agacé par la tournure des événements.
Interrogées sur les raisons de cette mobilisation inhabituelle des gendarmes, Oumar SOW, pour l’heure, n’a aucune explication officielle pour la présence de ces gendarmes, laissant la situation entourée d'un flou inquiétant.
Affaire à suivre.
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