Ce 28e sommet Afrique-France a été pour la jeunesse africaine de s'exprimer sur les blocages qui ont pendant des décennies gangrené les relations entre la France et le continent Africain.
Emmanuel Macron, donnant la parole à ces jeunes acteurs de la société civile africaine, leur a, en même temps, donné l'occasion de laisser éclater leur émoi. La jeune Malienne, Adam Dicko, Cheikh Fall de Africtivistes, Adelle Onyango, une jeune ressortissante du Kenya ou encore, Eldaa Koama, entrepreneure burkinabé, ont tous exprimé leurs regrets de voir les relations politiques et économiques dominées par une arrogance et une tutelle inqualifiable entre la France et l'Afrique toujours au statu quo.
Sur l'interpellation que le fondateur de Africtivistes a formulé en l'invitant à demander pardon au continent noir qui a subi plusieurs crimes, le présidnet Français voit les choses autrement. Pour Emmanuel Macron, il faut faire place à la reconnaissance. "Je ne crois pas à une politique de pardon, en tout cas dans le lien qui existe entre la France et l'Afrique. Je crois en revanche à une politique de reconnaissance..."
Le président Macron, ouvert aux jeunes, a également répondu sur les questions de souveraineté, de développement et de partenariat qui, selon le locataire du palais de l'Élysée, doivent se faire sur la base de changements dans les relations entre la France et l'Afrique...
Emmanuel Macron, donnant la parole à ces jeunes acteurs de la société civile africaine, leur a, en même temps, donné l'occasion de laisser éclater leur émoi. La jeune Malienne, Adam Dicko, Cheikh Fall de Africtivistes, Adelle Onyango, une jeune ressortissante du Kenya ou encore, Eldaa Koama, entrepreneure burkinabé, ont tous exprimé leurs regrets de voir les relations politiques et économiques dominées par une arrogance et une tutelle inqualifiable entre la France et l'Afrique toujours au statu quo.
Sur l'interpellation que le fondateur de Africtivistes a formulé en l'invitant à demander pardon au continent noir qui a subi plusieurs crimes, le présidnet Français voit les choses autrement. Pour Emmanuel Macron, il faut faire place à la reconnaissance. "Je ne crois pas à une politique de pardon, en tout cas dans le lien qui existe entre la France et l'Afrique. Je crois en revanche à une politique de reconnaissance..."
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