Le député libéral Aida Mbodji a procédé ce mardi matin à la cérémonie de lancement de la campagne contre la détention arbitraire. Dans un mémorandum sous le thème « la détention arbitraire, le sens d’un engagement pour une éradication définitive », elle compte ainsi dénoncer à travers la signature d’une pétition la détention arbitraire dont fait l’objet selon elle Karim Wade. Toutefois, Aida Mbodji rassure qu’il ne s’agit pas seulement de Karim Wade mais de l’éradication définitive de la détention arbitraire.
« Nous avons rendu hommage aux défenseurs des droits de l’homme qui défendent l’avis du groupe de travail car même au Cameroun quand ce fut le cas ils étaient obligé de citer Michel Atangana comme on cite Karim Wade au Sénégal » a-t-elle soutenu. Selon elle, en dénonçant la détention arbitraire au Sénégal pour la première fois depuis notre indépendance l’avis numéro 4 du groupe de travail a ciblé la détention de Karim Wade. Ainsi déclare-t-elle « c’est pourquoi on le prend comme exemple. Et nous n’avons pas le complexe de le citer parce que effectivement c’est de lui qu’il s’agit dans l’avis 4 il a été détenu arbitrairement ». Aboubakry Mbodji de la rencontre Africaine des droits de l’Homme (Raddho), a pour sa part soutenu que la lutte contre la détention arbitraire entre dans les principes de l’organisation et dans ce sens il a salué l’initiative de la responsable libérale. « Nous avons été les premiers à dénoncer la procédure du procès de Karim Wade et le groupe de travail nous a réconforté. La souveraineté que prône le Sénégal n’existe pas car il a ratifié des chartes des nations unis » a-t-il dit. Oumar Sarr, Mamadou Diop Decroix, Babacar Justin Ndiaye entre autres étaient présents à la cérémonie de lancement de cette campagne de lutte contre la détention arbitraire. Une pétition a été lancé et Aida Mbodji espère que tous les sénégalais vont y adhérer.
« Nous avons rendu hommage aux défenseurs des droits de l’homme qui défendent l’avis du groupe de travail car même au Cameroun quand ce fut le cas ils étaient obligé de citer Michel Atangana comme on cite Karim Wade au Sénégal » a-t-elle soutenu. Selon elle, en dénonçant la détention arbitraire au Sénégal pour la première fois depuis notre indépendance l’avis numéro 4 du groupe de travail a ciblé la détention de Karim Wade. Ainsi déclare-t-elle « c’est pourquoi on le prend comme exemple. Et nous n’avons pas le complexe de le citer parce que effectivement c’est de lui qu’il s’agit dans l’avis 4 il a été détenu arbitrairement ». Aboubakry Mbodji de la rencontre Africaine des droits de l’Homme (Raddho), a pour sa part soutenu que la lutte contre la détention arbitraire entre dans les principes de l’organisation et dans ce sens il a salué l’initiative de la responsable libérale. « Nous avons été les premiers à dénoncer la procédure du procès de Karim Wade et le groupe de travail nous a réconforté. La souveraineté que prône le Sénégal n’existe pas car il a ratifié des chartes des nations unis » a-t-il dit. Oumar Sarr, Mamadou Diop Decroix, Babacar Justin Ndiaye entre autres étaient présents à la cérémonie de lancement de cette campagne de lutte contre la détention arbitraire. Une pétition a été lancé et Aida Mbodji espère que tous les sénégalais vont y adhérer.
Autres articles
-
Manifestation en Guinée Bissau : Le journaliste Armando Lona arrêté, les droits de l’hommiste engagent la responsabilité de l’Etat
-
Sare Colly Salle (Vélingara/Kolda) : Le mouvement génération consciente dénonce l’absence de développement durable dans leur commune…
-
Transport public : Orange Finances Mobiles Sénégal facilite le paiement aux usagers du BRT
-
Burkina, Mali et Niger finalisent leur projet de confédération
-
Guinée: appel à la junte pour rendre le pouvoir aux civils avant la fin de l'année