Selon le professeur Dr Abdou Aziz Kassé, un des membres fondateurs de la Listab, de l’association « « prévenir » et de beaucoup d'organismes de la société civile, les nouvelles autorités doivent prendre leur responsabilités pour interdire le tabac dans les certaines cités réligieuses. Car ,ce qui se passe aujourd’hui dans le monde est inadmissible si l’on se réfère aux études statistiques qui démontrent que Chaque année 8 millions de personnes meurent dans le monde à cause du tabagisme chaque année. Ses personnes développent des maladies chroniques liées au tabagisme tels que l'infertilité, l'impuissance sexuelle, AVC . Tant bien même que dans certains sites religieux, cela a été interdit, il en reste encore.
Pour lutter contre le tabagisme, il y a un arsenal juridique qui a été mis en place et qui lutte efficacement contre le tabagisme. Mais cela n'est pas le cas dans notre pays. Et c’est pourquoi, « j’invite les nouvelles autorités du Sénégal à s'impliquer dans cette nouvelle bataille. L’industrie du tabac va continuer à vendre du tabac mais l'industrie du tabac commence à vendre des substances alternatives qui ne sont plus les mêmes. La chicha est en train de gangrener le pays et la session de chicha, c'est l'équivalent de 20 à 100 cigarettes », renseigne -t-il. Mieux, l'industrie du tabac a pris la substance la plus addictive qui s'appelle la nicotine pour les mettre dans des poufs. Ses poufs sont ensuite vendus aux enfants à 2500 FCFA.
Même si l’Etat du Sénégal a réussi sur certains points de la loi, il n’en demeure pas pour lui que le Sénégal a raté la santé de l’époque. D’après lui, le ministre de la santé avait refusé que l’on transforme tous les espaces publics ou des espaces ouverts au public ,en des espaces sans tabac.
Pour lutter contre le tabagisme, il y a un arsenal juridique qui a été mis en place et qui lutte efficacement contre le tabagisme. Mais cela n'est pas le cas dans notre pays. Et c’est pourquoi, « j’invite les nouvelles autorités du Sénégal à s'impliquer dans cette nouvelle bataille. L’industrie du tabac va continuer à vendre du tabac mais l'industrie du tabac commence à vendre des substances alternatives qui ne sont plus les mêmes. La chicha est en train de gangrener le pays et la session de chicha, c'est l'équivalent de 20 à 100 cigarettes », renseigne -t-il. Mieux, l'industrie du tabac a pris la substance la plus addictive qui s'appelle la nicotine pour les mettre dans des poufs. Ses poufs sont ensuite vendus aux enfants à 2500 FCFA.
Même si l’Etat du Sénégal a réussi sur certains points de la loi, il n’en demeure pas pour lui que le Sénégal a raté la santé de l’époque. D’après lui, le ministre de la santé avait refusé que l’on transforme tous les espaces publics ou des espaces ouverts au public ,en des espaces sans tabac.
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En tout état de cause, il invite les nouvelles autorités à prendre leur responsabilité pour interdire le tabac dans les cités religieuses.
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