"C'est un magazine fameux pour ses publications provocantes sur les musulmans, les chrétiens, sur tout le monde (...) cela ne s'appelle pas la liberté, cela s'appelle semer la terreur en empiétant sur la liberté des autres", a déclaré M. Erdogan à Ankara.
"Pas de liberté sans limite"
"Il ne peut pas y avoir de liberté sans limite", a-t-il insisté lors d'un discours. A la "une" du numéro sorti après la tuerie qui a décimé sa rédaction, Charlie Hebdo a publié mercredi un dessin de Mahomet la larme à l'oeil et tenant une pancarte "Je suis Charlie", le slogan des millions de manifestants qui ont défilé en France et à l'étranger pour condamner les attaques jihadistes qui ont fait 17 morts en trois jours à Paris.
Colère dans le monde musulman
Cette caricature a suscité la colère dans de nombreux pays musulmans. Jeudi, le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu, qui avait participé avec le président français et d'autres dirigeants étrangers à la manifestation dimanche à Paris, a dénoncé la "grave provocation" de Charlie et souligné que "la liberté de la presse ne signifie pas la liberté d'insulter".
Enquête
La justice turque a ouvert une enquête à la suite de la publication de la caricature controversée du journal dans le quotidien turc d'opposition Cumhuriyet , et ordonné le blocage des sites internet turcs qui la publierait.
"Pas de liberté sans limite"
"Il ne peut pas y avoir de liberté sans limite", a-t-il insisté lors d'un discours. A la "une" du numéro sorti après la tuerie qui a décimé sa rédaction, Charlie Hebdo a publié mercredi un dessin de Mahomet la larme à l'oeil et tenant une pancarte "Je suis Charlie", le slogan des millions de manifestants qui ont défilé en France et à l'étranger pour condamner les attaques jihadistes qui ont fait 17 morts en trois jours à Paris.
Colère dans le monde musulman
Cette caricature a suscité la colère dans de nombreux pays musulmans. Jeudi, le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu, qui avait participé avec le président français et d'autres dirigeants étrangers à la manifestation dimanche à Paris, a dénoncé la "grave provocation" de Charlie et souligné que "la liberté de la presse ne signifie pas la liberté d'insulter".
Enquête
La justice turque a ouvert une enquête à la suite de la publication de la caricature controversée du journal dans le quotidien turc d'opposition Cumhuriyet , et ordonné le blocage des sites internet turcs qui la publierait.
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