Le Garde des Sceaux, lors de l’assemblée générale de l’Union des magistrats du Sénégal (Ums), a fait savoir qu’il n’y a pas de justice politique au Sénégal. Sidiki Kaba répondait à une question sur une supposée « politisation » du procès de Karim Wade dans le cadre de la traque des biens mal acquis.
« Il n’y a pas de justice politique au Sénégal ». C’est la conviction du garde des Sceaux, ministre de la Justice. Selon Sidiki Kaba, on parle de procès à relent politique depuis l’indépendance, mais après la clameur publique, les magistrats ont toujours rendu des décisions qui ont montré que le droit a été dit.
« Je ne rentre pas dans le fond d’un dossier que je ne maîtrise pas, mais ce qui est important, c’est que l’organisation de ce procès est faite. Des magistrats libres et indépendants rendront la décision », a-t-il indiqué, faisant allusion au procès de Karim Wade qui alimente les débats depuis son ouverture le 31 juillet.
Cette décision, a précisé Me Kaba, sera celle de l’État du Sénégal que brandit un État de droit qui fonctionne sur la base de l’impartialité des cours et tribunaux et qui fonctionne sur le respect des droits de la défense.
« C’est ce que nous pouvons assurer à tous en nous disant que nul n’est au-dessus de la loi. Il y a des hommes et des femmes qui doivent veiller à cela, étant les remparts désignés par la Constitution. Il faut donc les laisser faire leur travail », a ajouté le ministre. Selon le ministre de la Justice, «le juge sénégalais est libre d’esprit, indépendant de raison» et il le montre chaque jour dans le cadre de son travail. Tous les jours, les magistrats rendent la justice sans crainte, sans peur et sans pression, d’où qu’elles viennent », a noté le ministre, qui a plaidé pour un renforcement des garanties de carrière des magistrats au niveau institutionnel.
« Il n’y a pas de justice politique au Sénégal ». C’est la conviction du garde des Sceaux, ministre de la Justice. Selon Sidiki Kaba, on parle de procès à relent politique depuis l’indépendance, mais après la clameur publique, les magistrats ont toujours rendu des décisions qui ont montré que le droit a été dit.
« Je ne rentre pas dans le fond d’un dossier que je ne maîtrise pas, mais ce qui est important, c’est que l’organisation de ce procès est faite. Des magistrats libres et indépendants rendront la décision », a-t-il indiqué, faisant allusion au procès de Karim Wade qui alimente les débats depuis son ouverture le 31 juillet.
Cette décision, a précisé Me Kaba, sera celle de l’État du Sénégal que brandit un État de droit qui fonctionne sur la base de l’impartialité des cours et tribunaux et qui fonctionne sur le respect des droits de la défense.
« C’est ce que nous pouvons assurer à tous en nous disant que nul n’est au-dessus de la loi. Il y a des hommes et des femmes qui doivent veiller à cela, étant les remparts désignés par la Constitution. Il faut donc les laisser faire leur travail », a ajouté le ministre. Selon le ministre de la Justice, «le juge sénégalais est libre d’esprit, indépendant de raison» et il le montre chaque jour dans le cadre de son travail. Tous les jours, les magistrats rendent la justice sans crainte, sans peur et sans pression, d’où qu’elles viennent », a noté le ministre, qui a plaidé pour un renforcement des garanties de carrière des magistrats au niveau institutionnel.
Autres articles
-
Entreprenariat - Cultures urbaines : Plus de 30 jeunes bénéficieront d’une formation dans le digital
-
Thiès - Cité Diamalaye / Litige foncier : "La SN-HLM a un seul objetif, démolir nos maisons, démolir nos quartiers qui sont à 75% habités" (Collectif des victimes de la SN- HLM).
-
Suspension des constructions par le PR : Le Pds propose une taxe de 25% sur le patrimoine foncier bradé
-
Mairie Thiès Nord : La démission du ministre Birame Soulèye Diop, est actée.
-
Pdt Bassirou Diomaye Faye : « Je renouvelle le soutien indéfectible du Sénégal aux revendications légitimes de nos frères et sœurs palestiniens »