Les Paraguayens ont cru avoir mis la main sur le "chupacabra", une créature légendaire qui vide les animaux de leur sang.
L'affaire traîne depuis quelques semaines sur le web. Fin octobre, les foyers paraguayens ont vu apparaître sur leur écran une étrange créature, mi-homme, mi-animal, flottant à la surface d'un plan d'eau de Carmen del Parana, ville frontalière de l'Argentine.
Les attributs du cadavre ont provoqué de vives questions: de la taille proche d'un grand chien, il présentait une peau jaunâtre et des membres terminés par de longs doigts à l'apparence humaine. Beaucoup ont vu en ce corps en décomposition le fameux "Chupacabra", sorte de Yéti ou de Loch Ness local.
Né de légendes urbaines, le "Chupacabra" - littéralement "suceur de chèvres" - est vu comme un "homme moustique" ou une chauve-souris couverte de poils, aux yeux rouges et aux crocs acérés. Il aurait sévi pour la première fois en 1992 à Porto Rico après une vague de massacres inexpliqués de chèvres, de chevaux et d'oiseaux.
Les espoirs des férus de croyance populaires furent cependant rapidement
déçus. Selon le chef des pompiers de la localité, Javier Medina, il s'agit simplement du corps en décomposition d'un singe hurleur ou d'un capucin. Pendant ce temps, le "Chupacabra" court toujours.
L'affaire traîne depuis quelques semaines sur le web. Fin octobre, les foyers paraguayens ont vu apparaître sur leur écran une étrange créature, mi-homme, mi-animal, flottant à la surface d'un plan d'eau de Carmen del Parana, ville frontalière de l'Argentine.
Les attributs du cadavre ont provoqué de vives questions: de la taille proche d'un grand chien, il présentait une peau jaunâtre et des membres terminés par de longs doigts à l'apparence humaine. Beaucoup ont vu en ce corps en décomposition le fameux "Chupacabra", sorte de Yéti ou de Loch Ness local.
Né de légendes urbaines, le "Chupacabra" - littéralement "suceur de chèvres" - est vu comme un "homme moustique" ou une chauve-souris couverte de poils, aux yeux rouges et aux crocs acérés. Il aurait sévi pour la première fois en 1992 à Porto Rico après une vague de massacres inexpliqués de chèvres, de chevaux et d'oiseaux.
Les espoirs des férus de croyance populaires furent cependant rapidement
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