La majorité des 200.000 jeunes qui frappent chaque année aux portes du marché de l’emploi ne disposent pas des compétences requises, a soutenu, jeudi, à Dakar, le directeur général de l’Agence nationale de la promotion de l’emploi des jeunes (ANPEJ), Amadou Lamine Dieng.
"Au Sénégal, il y a un nombre pléthorique de jeunes demandeurs d’emploi, environ 200 mille chaque année, dont 41 % des demandeurs n’ont pas de diplôme et 31 % de l’effectif sont diplômés, mais n’ont pas de compétences nécessaires au travail’’, a-t-il dit.
M. Dieng intervenait lors de la projection d’un film sur "Les technologies de l’information et de communication : enjeux et perspective dans l’entreprenariat des jeunes".
Selon le directeur général de l’ANPEJ, les TIC peuvent faciliter la collecte et le traitement de toutes les demandes d’emplois des jeunes, d’autant que les technologies de l’information et de la communication jouent un rôle important dans le renforcement de l’entreprenariat et de l’auto-emploi des jeunes.
Le président de l’OPTIC, l’organisation des professionnels des TIC du Sénégal, Antoine Ngom, a pour sa part insisté sur l’importance de ce sous-secteur dans l’économie, renseignant qu’il représente 10% du PIB du Sénégal.
"Au Sénégal, il y a un nombre pléthorique de jeunes demandeurs d’emploi, environ 200 mille chaque année, dont 41 % des demandeurs n’ont pas de diplôme et 31 % de l’effectif sont diplômés, mais n’ont pas de compétences nécessaires au travail’’, a-t-il dit.
M. Dieng intervenait lors de la projection d’un film sur "Les technologies de l’information et de communication : enjeux et perspective dans l’entreprenariat des jeunes".
Selon le directeur général de l’ANPEJ, les TIC peuvent faciliter la collecte et le traitement de toutes les demandes d’emplois des jeunes, d’autant que les technologies de l’information et de la communication jouent un rôle important dans le renforcement de l’entreprenariat et de l’auto-emploi des jeunes.
Le président de l’OPTIC, l’organisation des professionnels des TIC du Sénégal, Antoine Ngom, a pour sa part insisté sur l’importance de ce sous-secteur dans l’économie, renseignant qu’il représente 10% du PIB du Sénégal.
Autres articles
-
Contribution à la réorganisation institutionnelle de la recherche agricole au Sénégal
-
Face à l’etat actuel de l’hydraulique au Sénégal, faut-il réinventer une nouvelle autorité de régulation pour améliorer la Gouvernance ?
-
La diaspora sénégalaise, acteur clé des élections : vers un futur d’innovation et de prospérité pour le Sénégal (Par Dr Idrissa Doucouré)
-
Kaolack : Le Khalife de Médina Baye, Cheikh Mahi Ibrahima Niass, en voyage au Maroc pour le renforcement des relations bilatérales Islamiques
-
Nécrologie : Décès du Pr Assane Ndiaye, enseignant à l'UASZ