Trois étudiants, arrêtés à la suite d'affrontements avec les forces de l’ordre, la semaine dernière, ont été jugés ce jeudi 30 juillet, devant le Tribunal des flagrants délits de Dakar. Ousseynou N'diaye, Halegeri Diallo et Gana Soung sont ressortis de leur audience avec une décision de relaxe pure et simple. En effet, le Tribunal les a relaxés des délits qui leur sont reprochés, et à l’énoncé du verdict, tous leurs proches et amis ont poussé des cris de joie. Le procureur de la République n'a donc pas été suivi dans sa réquisition.
Les prévenus étaient poursuivis pour actions diverses ayant causé des dommages, dégradations de biens appartenant à l’Etat et dommages volontaires à la propriété d’autrui. Selon l’accusation, les trois étudiants seraient mêlés dans des actes de vandalisme, à la suite d’une grève à l’Ucad.
A la barre, Ousseynou N'diaye et ses camarades ont nié les faits qui leur sont reprochés. Les étudiants de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) sont revenus sur les détails de leurs arrestations. Ils ont tous plaidé non coupables. Les prévenus ont pour la plupart soutenu avoir été arrêtés en même temps lors des affrontements entre policiers et étudiants, la semaine dernière. Les mis en cause ont nié toute implication à des actes de vandalisme, démentant s'en être pris à des biens publics. Dans leurs plaidoiries, les avocats de la défense ont mis l’accent sur l’apaisement et suggéré une logique de pacification dans l’espace universitaire. Les conseils des mis en cause avaient ainsi plaidé la relaxe pure et simple...
Les prévenus étaient poursuivis pour actions diverses ayant causé des dommages, dégradations de biens appartenant à l’Etat et dommages volontaires à la propriété d’autrui. Selon l’accusation, les trois étudiants seraient mêlés dans des actes de vandalisme, à la suite d’une grève à l’Ucad.
A la barre, Ousseynou N'diaye et ses camarades ont nié les faits qui leur sont reprochés. Les étudiants de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) sont revenus sur les détails de leurs arrestations. Ils ont tous plaidé non coupables. Les prévenus ont pour la plupart soutenu avoir été arrêtés en même temps lors des affrontements entre policiers et étudiants, la semaine dernière. Les mis en cause ont nié toute implication à des actes de vandalisme, démentant s'en être pris à des biens publics. Dans leurs plaidoiries, les avocats de la défense ont mis l’accent sur l’apaisement et suggéré une logique de pacification dans l’espace universitaire. Les conseils des mis en cause avaient ainsi plaidé la relaxe pure et simple...
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