Dans le cadre de leur plan d’action pour le respect du calendrier électoral, le collectif AAR SUNU ÉLECTION et l’Association des Commerçants et Industriels du Sénégal (ACIS) avaient initié, ce mardi 27 février une journée "ville morte". Cette dernière est tombée dans l’eau. DakarActu, a fait le constat au marché Sandaga.
Situé en plein centre-ville, Sandaga,ce marché populaire et agité n’a pas trahi, en ce jour décrété ville morte, sa réputation. En effet, aucun commerçant n’a respecté le mot d’ordre. Cependant, certains se plaignent du manque de communication et d’autres évoquent d’utopies. Ces derniers considèrent cette initiative chimérique dans un contexte économique moribond.
Vêtu d’un boubou traditionnel au rayures noires et blancs, Pathé Fall, commerçants dit ne peut pas être au courant du mot d’ordre. Il estime qu’il est impossible d’observer le mot d’ordre avec le marasme économique que traverse le pays.
« Personne n’est au courant ici à Sandaga. Aucun marchand n’a respecté le mot d’ordre. Tous les magasins sont ouverts, vous le constatez vous-même », rétorque-t-il. Selon, Pathé Fall, il est impossible pour un commerçant qui dépend de ses revenus journaliers de suivre cette initiative de ville morte.
Cependant, Mbaye Diop épouse une position paradoxale. Il salue l’initiative mais ne respecte pas le mot d’ordre.« J’étais au courant du mot d’ordre, mais j’ai préféré venir travailler. À notre niveau, le mot d’ordre n’est pas suivi », explique t-il.
Ajoutant, il estime que le combat pour la démocratie n’a pas de prix. « Nous saluons l’initiative, la démocratie n’a pas de prix. Perdre sa démocratie est plus dure que de rester des jours ou une semaine sans travailler », soutient -il.
Situé en plein centre-ville, Sandaga,ce marché populaire et agité n’a pas trahi, en ce jour décrété ville morte, sa réputation. En effet, aucun commerçant n’a respecté le mot d’ordre. Cependant, certains se plaignent du manque de communication et d’autres évoquent d’utopies. Ces derniers considèrent cette initiative chimérique dans un contexte économique moribond.
Vêtu d’un boubou traditionnel au rayures noires et blancs, Pathé Fall, commerçants dit ne peut pas être au courant du mot d’ordre. Il estime qu’il est impossible d’observer le mot d’ordre avec le marasme économique que traverse le pays.
« Personne n’est au courant ici à Sandaga. Aucun marchand n’a respecté le mot d’ordre. Tous les magasins sont ouverts, vous le constatez vous-même », rétorque-t-il. Selon, Pathé Fall, il est impossible pour un commerçant qui dépend de ses revenus journaliers de suivre cette initiative de ville morte.
Cependant, Mbaye Diop épouse une position paradoxale. Il salue l’initiative mais ne respecte pas le mot d’ordre.« J’étais au courant du mot d’ordre, mais j’ai préféré venir travailler. À notre niveau, le mot d’ordre n’est pas suivi », explique t-il.
Ajoutant, il estime que le combat pour la démocratie n’a pas de prix. « Nous saluons l’initiative, la démocratie n’a pas de prix. Perdre sa démocratie est plus dure que de rester des jours ou une semaine sans travailler », soutient -il.
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