Pour le financement du Plan Sénegal émergent (Pse), l’Etat entend aller au-delà de ses propres ressources et de l’appui aux partenaires techniques et financiers. En effet et selon « l’As », dans sa quête effrénée de fonds, l’Etat a institué « une contribution » dénommée « prélèvement spécial dans le secteur des télécommunications ». En extrême clair, il compte puiser dans les caisses des trois opérateurs de téléphonie (Sonatel , Tigo et Expresso). Désormais l’Etat prélèvera 1% du chiffre d’affaires hors taxes, des trois entreprises de télécommunication, net de frais d’interconnexion réglé aux autres exploitants.
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