Etudiant en chimie, Lamine Cissé, d’origine sénégalaise, est ce qu’on appelle un très bon élève : 18 en maths, 17 en chimie, 16 en physique... mais sans ressources et non boursier, il doit «survivre» pour rester en France. Ses professeurs d’Iut à l’Université d’Artois
ont décidé de lui venir en aide afin qu’il puisse poursuivre ses études en France. Dès la rentrée il s’est fait remarqué par ses brillants résultats, mais aussi par ses faibles moyens. « Je mange une fois par jour, le soir, quand je rentre chez moi. Le resto Crous, c’est trop cher à mon niveau». Ses enseignants ont décidé de lui venir en aide, comme l’a révélé le journal La Voix du Nord. Sans cet élan de solidarité, il aurait été obligé de refaire ses bagages pour retourner à Tambacounda, la ville sénégalaise dont il est originaire.
Pour ne pas voir repartir ce brillant étudiant, ses professeurs et l’Association des étudiants internationaux (Adeia) lui sont venus en aide. A son arrivée à Béthune en septembre 2015, Lamine a été livré à lui-même.
Il confiait à La Voix du Nord : « J’ai passé la journée à l’Iut car je n’avais pas d’autre endroit où aller. Le soir-même, un professeur m’a emmené au Crous. On m’a trouvé une chambre en urgence pour 5 jours, à 15 euros la nuit.» Ensuite l’association Adeia s’est occupée de certaines démarches : ouverture d’un compte bancaire, mutuelle et même déménagement jusqu’à Arras où l’association lui a trouvé un logement. Des professeurs lui ont même payé la caution et le loyer de son logement. Ils lui ont aussi offert 150 euros et lui fournissent régulièrement des colis de nourriture.
ont décidé de lui venir en aide afin qu’il puisse poursuivre ses études en France. Dès la rentrée il s’est fait remarqué par ses brillants résultats, mais aussi par ses faibles moyens. « Je mange une fois par jour, le soir, quand je rentre chez moi. Le resto Crous, c’est trop cher à mon niveau». Ses enseignants ont décidé de lui venir en aide, comme l’a révélé le journal La Voix du Nord. Sans cet élan de solidarité, il aurait été obligé de refaire ses bagages pour retourner à Tambacounda, la ville sénégalaise dont il est originaire.
Pour ne pas voir repartir ce brillant étudiant, ses professeurs et l’Association des étudiants internationaux (Adeia) lui sont venus en aide. A son arrivée à Béthune en septembre 2015, Lamine a été livré à lui-même.
Il confiait à La Voix du Nord : « J’ai passé la journée à l’Iut car je n’avais pas d’autre endroit où aller. Le soir-même, un professeur m’a emmené au Crous. On m’a trouvé une chambre en urgence pour 5 jours, à 15 euros la nuit.» Ensuite l’association Adeia s’est occupée de certaines démarches : ouverture d’un compte bancaire, mutuelle et même déménagement jusqu’à Arras où l’association lui a trouvé un logement. Des professeurs lui ont même payé la caution et le loyer de son logement. Ils lui ont aussi offert 150 euros et lui fournissent régulièrement des colis de nourriture.
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