Le 43e président des Etats-Unis - qui n'a pas été épargné par les médias pendant ses huit ans à la Maison Blanche - ne partage pas le point de vue de son successeur qui voit dans la presse "un ennemi du peuple américain".
"J'estime que les médias sont indispensables à la démocratie. Les médias sont indispensables pour que des gens comme moi aient à rendre des comptes", a dit l'ancien président lors d'une rare interview sur NBC.
Le 45e président des Etats-Unis se livre à des attaques sans relâche contre les principaux médias américains qu'il accuse de partialité et de répandre des fausses nouvelles.
Au fur et à mesure de révélations sur les dysfonctionnements au sein de la Maison Blanche, les attaques du président se sont faites plus violentes et plus directes, sur Twitter mais aussi à l'occasion de grands discours.
Stephen Bannon, l'un des plus proches conseillers du président, a pour habitude de qualifier la presse de "parti de l'opposition".
George W. Bush, qui publie un livre consacré à ses peintures, a souligné que "le pouvoir peut être très addictif et corrosif, et il est très important que les médias demandent des comptes à ceux qui abusent du pouvoir".
Il a également estimé que les critiques systématiques visant les médias américains minaient les efforts des Etats-Unis de promotion de la démocratie et d'une presse libre à l'étranger.
"J'estime que les médias sont indispensables à la démocratie. Les médias sont indispensables pour que des gens comme moi aient à rendre des comptes", a dit l'ancien président lors d'une rare interview sur NBC.
Le 45e président des Etats-Unis se livre à des attaques sans relâche contre les principaux médias américains qu'il accuse de partialité et de répandre des fausses nouvelles.
Au fur et à mesure de révélations sur les dysfonctionnements au sein de la Maison Blanche, les attaques du président se sont faites plus violentes et plus directes, sur Twitter mais aussi à l'occasion de grands discours.
Stephen Bannon, l'un des plus proches conseillers du président, a pour habitude de qualifier la presse de "parti de l'opposition".
George W. Bush, qui publie un livre consacré à ses peintures, a souligné que "le pouvoir peut être très addictif et corrosif, et il est très important que les médias demandent des comptes à ceux qui abusent du pouvoir".
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