Des journalistes de Walf Quotidien convoqués à la DIC demain matin.


Des journalistes de Walf Quotidien convoqués à la DIC demain matin.

DAKARACTU.COM Suite à la publication, ce 12 juillet, du dossier « Menteurs, agresseurs, détourneurs… : les voyous de la République », Walf Quotidien est dans le viseur de la Division des investigations criminelles (DIC). Trois de ses journalistes (Mohamed Mbayo, Yakhya Massaly et G. Diène) sont convoqués demain 13 juillet dans la matinée par les limiers de la DIC. Dakaractu.com suivra cette affaire de près, en sentinelle de la liberté de la presse.

Mercredi 13 Juillet 2011




1.Posté par Yérim le 13/07/2011 01:45
Maintenant vous interdisez aux justiciables qui se sentent lésés d'exercer leur droit de poursuite ? Ou bien alors ceux qui sont été accusés de menteurs, voyous et autres noms d'oiseau sont des quantités négligeables, qui n'ont pas d'honneur, n'ont pas de dignité, n'ont de famille, n'ont pas droit ...? Yérim sétale yallah ci lingaye def aka wakh mo gueune, Walf n'est pas un justicier, encore moins un tribunal populaire, son rôle c'est de relater des faits et non pas de qualifier des personnes. Votre site à rapporter la suspension d'un journaliste américain qui aurait traité Obama de con. Alors monsieur le Juge, comparer les deux propos. C'est votre droit de considérer vos confrères comme des êtres humains et de considérer ceux qui pensent être leur victime comme des quantités humaines négligeables. Thing.

2.Posté par Yérim le 13/07/2011 07:40
Le patron de Walf vient lui même d'obtenir la condamnation de deux journalistes et d'un quotidien qui l'auraient diffamé. Mais certainement, celon Dakaractu, Sidy a le droit de réclamer justice mais ses victimes ne sont que des quantités humaines négligeables sans honneur ni dignité, ni famille. En bon républicain et en bon démocratique, on exige le respect des droits de la défense et un procès équitable mais on ne récuse jamais à un individu, à un groupe social, politique, économique, ou à un Etat, leur droit d'exercer une poursuite. Les avocats des victimes d'Habré avaient condamné, la décision d'expulsion de Habré vers le Tchad pour montrer qu'ils ne réclament qu'un procès équitable. Yérim, tu es juriste, il nous revenir sur les fondamentaux de la république et de l'Etat de l'Etat, des fondements de la démocratie : la liberté d'écrire de Sidy n'est pas supérieur au droit à la dignité des mis en cause. En République c'est le juge qui tranche et non pas des organisations corporatistes qui défendent des intérêts particuliers et partisans. C'est une rupture de l'Etat de droit. Et tout républicain doit se l'interdire. On se prononce sur les principes en république, d'autres sont habilités à qualifier les faits et à trancher. Comme dirait Ousmane Ngom, dans ce pays, on parle en démocrate et agit en monarque. Ce ne sont que vos droit qui comptent apparemment.

3.Posté par Yérim le 13/07/2011 07:41
Le patron de Walf vient lui même d'obtenir la condamnation de deux journalistes et d'un quotidien qui l'auraient diffamé. Mais certainement, selon Dakaractu, Sidy a le droit de réclamer justice mais ses victimes ne sont que des quantités humaines négligeables sans honneur ni dignité, ni famille. En bon républicain et en bon démocratique, on exige le respect des droits de la défense et un procès équitable mais on ne récuse jamais à un individu, à un groupe social, politique, économique, ou à un Etat, leur droit d'exercer une poursuite. Les avocats des victimes d'Habré avaient condamné, la décision d'expulsion de Habré vers le Tchad pour montrer qu'ils ne réclament qu'un procès équitable. Yérim, tu es juriste, il nous revenir sur les fondamentaux de la république et de l'Etat de l'Etat, des fondements de la démocratie : la liberté d'écrire de Sidy n'est pas supérieur au droit à la dignité des mis en cause. En République c'est le juge qui tranche et non pas des organisations corporatistes qui défendent des intérêts particuliers et partisans. C'est une rupture de l'Etat de droit. Et tout républicain doit se l'interdire. On se prononce sur les principes en république, d'autres sont habilités à qualifier les faits et à trancher. Comme dirait Ousmane Ngom, dans ce pays, on parle en démocrate et agit en monarque. Ce ne sont que vos droit qui comptent apparemment.

4.Posté par ouza le 13/07/2011 12:59
dasss fannanall rek nak



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