Le Syndicat Autonome des Enseignants du Supérieur (SAES) décrète un mot d’ordre de grève de 48 heures, les mardi 23 et mercredi 24 mai prochain. Une décision prise pour dénoncer l’attitude du Gouvernement qui ne respecte toujours pas les accords signés.
« Après avoir attendu avec beaucoup d’espoir les conclusions de la conférence sociale sur la retraite et les Assemblées générales de campus, tenues ce 9 mai 2017, ont permis de constater l’immense déception des enseignants face à l’attitude du Gouvernement qui a mis le SAES devant le fait accompli en s’éloignant de l’accord conclu avec le Syndicat en date du 17 mai 2016 », lit-on dans le communiqué reçu par Libération.
« En effet, au lieu de respecter son engagement à mettre en place une retraite décente pour les enseignants chercheurs, le Gouvernement préfère éroder leur pouvoir d’achat en instaurant une diminution déguisée de salaires pour combler le déficit du Fonds National de Retraite dont il est le seul responsable », mentionne-t-on dans le document.
De même, le SAES rappelle aux militants que les formations payantes doivent également être suspendues. Il leur demande également de ne pas s’inscrire sur les listes de présidents de jury pour la session 2017 du baccalauréat.
Au moment où ledit syndicat a décrété son mot d’ordre de grève, la Section de la Faculté des Sciences et Technologies de l’Éducation et de la Formation (FASTEF) du Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur (SAES) organise une conférence de presse. Ce, pour informer l’opinion publique sur le refus du Gouvernement du Sénégal de payer les émoluments relatifs à la Formation à Distance (FAD) dispensée par la Faculté des Sciences et Technologies de l’Éducation et de la Formation (FASTEF) et les points focaux régionaux.
« Cette attitude inacceptable du Ministère de l’Enseignement supérieur hypothèque l’avenir de 1900 enseignants qui n’attendent que leur diplôme pour intégrer la fonction publique car la sortie des résultats dépend du paiement de toutes les sommes dues relatives à la FAD », note-t-on dans le communiqué.
« Après avoir attendu avec beaucoup d’espoir les conclusions de la conférence sociale sur la retraite et les Assemblées générales de campus, tenues ce 9 mai 2017, ont permis de constater l’immense déception des enseignants face à l’attitude du Gouvernement qui a mis le SAES devant le fait accompli en s’éloignant de l’accord conclu avec le Syndicat en date du 17 mai 2016 », lit-on dans le communiqué reçu par Libération.
« En effet, au lieu de respecter son engagement à mettre en place une retraite décente pour les enseignants chercheurs, le Gouvernement préfère éroder leur pouvoir d’achat en instaurant une diminution déguisée de salaires pour combler le déficit du Fonds National de Retraite dont il est le seul responsable », mentionne-t-on dans le document.
De même, le SAES rappelle aux militants que les formations payantes doivent également être suspendues. Il leur demande également de ne pas s’inscrire sur les listes de présidents de jury pour la session 2017 du baccalauréat.
Au moment où ledit syndicat a décrété son mot d’ordre de grève, la Section de la Faculté des Sciences et Technologies de l’Éducation et de la Formation (FASTEF) du Syndicat Autonome de l’Enseignement Supérieur (SAES) organise une conférence de presse. Ce, pour informer l’opinion publique sur le refus du Gouvernement du Sénégal de payer les émoluments relatifs à la Formation à Distance (FAD) dispensée par la Faculté des Sciences et Technologies de l’Éducation et de la Formation (FASTEF) et les points focaux régionaux.
« Cette attitude inacceptable du Ministère de l’Enseignement supérieur hypothèque l’avenir de 1900 enseignants qui n’attendent que leur diplôme pour intégrer la fonction publique car la sortie des résultats dépend du paiement de toutes les sommes dues relatives à la FAD », note-t-on dans le communiqué.
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