Au-delà du fait que certains responsables libéraux essaient tant bien que mal de pousser Modou Diagne Fada vers la sortie, d’autres, jugés proches de Me Wade, essaient d’éteindre le feu.
Selon des sources de Libération, certains responsables ont pris leur bâton de pèlerin pour harmoniser les positions. Parmi ces médiateurs, l’on cite, entre autres, Me Madické Niang, et Awa Diop. Leur mission consistant essentiellement à éviter le clash qui serait catastrophique pour le Pds qui aspire revenir aux affaires.
«En tout cas, s’ils le font, ils sont dans leur rôle en tant qu’aînés dans le parti. En tout état de cause, je dis tout simplement qu’il ne faut pas les exclure, mais plutôt les ignorer, les isoler parce qu’ils ne sont pas majoritaires. Cela est une évidence. Maintenant, qu’il y ait des gens qui essaient d’arrondir leurs angles, c’est tout à fait normal. En ce qui nous concerne, nous ferons face à tout ce qui peut affaiblir notre parti au profit de Macky Sall», a soutenu Mayoro Faye.
Embouchant la même trompette, Meïssa Diène, responsable libéral dans le département de Pikine de dire : «Nous sommes tous derrière Me Abdoulaye Wade car, c’est le parti qui lui a demandé de rester. Modou Diagne Fada et ses copains sont minoritaires et ils le savent pertinemment. Toutefois, si les anciens du parti comme Me Madické Niang veulent tout faire pour les faire revenir à la raison, nous sommes d’accord. Mais, qu’ils leur disent surtout qu’ils ont été fabriqués de toutes pièces par Me Wade».
En attendant la réunion du Comité directeur qui doit se tenir aujourd’hui (sauf changement), les médiateurs du Parti démocratique sénégalais (Pds) activent l’ensemble de leurs réseaux pour appeler les uns et les autres à ne pas encore attiser le feu et d’attendre les conclusions qui seront issues de la «commission d’enquête» pilotée par Abdoulaye Faye. «Il faut que le groupe des frondeurs accepte les dernières recommandations du parti consistant à laisser Me Wade à sa tête jusqu’à la prochaine élection présidentielle», dit-il.
Reste à savoir si Fada & Cie se plieront aux demandes des «sages» pour éviter l’implosion de leur formation politique.
Selon des sources de Libération, certains responsables ont pris leur bâton de pèlerin pour harmoniser les positions. Parmi ces médiateurs, l’on cite, entre autres, Me Madické Niang, et Awa Diop. Leur mission consistant essentiellement à éviter le clash qui serait catastrophique pour le Pds qui aspire revenir aux affaires.
«En tout cas, s’ils le font, ils sont dans leur rôle en tant qu’aînés dans le parti. En tout état de cause, je dis tout simplement qu’il ne faut pas les exclure, mais plutôt les ignorer, les isoler parce qu’ils ne sont pas majoritaires. Cela est une évidence. Maintenant, qu’il y ait des gens qui essaient d’arrondir leurs angles, c’est tout à fait normal. En ce qui nous concerne, nous ferons face à tout ce qui peut affaiblir notre parti au profit de Macky Sall», a soutenu Mayoro Faye.
Embouchant la même trompette, Meïssa Diène, responsable libéral dans le département de Pikine de dire : «Nous sommes tous derrière Me Abdoulaye Wade car, c’est le parti qui lui a demandé de rester. Modou Diagne Fada et ses copains sont minoritaires et ils le savent pertinemment. Toutefois, si les anciens du parti comme Me Madické Niang veulent tout faire pour les faire revenir à la raison, nous sommes d’accord. Mais, qu’ils leur disent surtout qu’ils ont été fabriqués de toutes pièces par Me Wade».
En attendant la réunion du Comité directeur qui doit se tenir aujourd’hui (sauf changement), les médiateurs du Parti démocratique sénégalais (Pds) activent l’ensemble de leurs réseaux pour appeler les uns et les autres à ne pas encore attiser le feu et d’attendre les conclusions qui seront issues de la «commission d’enquête» pilotée par Abdoulaye Faye. «Il faut que le groupe des frondeurs accepte les dernières recommandations du parti consistant à laisser Me Wade à sa tête jusqu’à la prochaine élection présidentielle», dit-il.
Reste à savoir si Fada & Cie se plieront aux demandes des «sages» pour éviter l’implosion de leur formation politique.
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