L’appel au dialogue lancé par le président de la République pour apaiser la tension délétère a été diversement apprécié. L’ancien chef de la diplomatie, le docteur Cheikh Tidiane Gadio propose une concertation à la place du dialogue. « Il faut changer la formule. Au lieu d'un dialogue national qui part avec le passif des dialogues nationaux précédents, on propose une concertation nationale sans aller à l'idée d'une conférence nationale qui a eu lieu en Afrique avec les résultats que l'on sait » propose le candidat recalé par le filtre du parrainage.
L’ancien ministre des Affaires Etrangères est membre du Front Démocratique Pour une Élection Inclusive (FDPEI). Cette nouvelle structure de l’opposition regroupe 14 candidats a fait une déclaration ce mercredi 14 février 2024. Et le président du Mouvement panafricain et citoyen « Luy Jot Jotna » d’ajouter que « le concept de concertation nationale est beaucoup plus large que ce qu'on a déjà eu ici comme dialogue national. Le Sénégal est un pays de tradition de concertation de discussion où on se met autour d'une question et on se concerte » propose-t-il.
Cependant, il propose deux points à discuter : « sur la loi électorale et le système de parrainage ».
Toutefois, il note que « le Conseil constitutionnel n'a pas à compter les parrainages, les doublons internes ou externes. Il a mieux à faire, c'est de dire le droit et de veiller sur notre charte fondamentale. Et donc nous pensons que c'est une grave erreur de confier au Conseil constitutionnel la question des parrainages. Une structure plus technique comme la CENA ou autre pouvait avec l'appui de techniciens se mettre autour d'une table et travailler » dénonce le parlementaire.
L’ancien ministre des Affaires Etrangères est membre du Front Démocratique Pour une Élection Inclusive (FDPEI). Cette nouvelle structure de l’opposition regroupe 14 candidats a fait une déclaration ce mercredi 14 février 2024. Et le président du Mouvement panafricain et citoyen « Luy Jot Jotna » d’ajouter que « le concept de concertation nationale est beaucoup plus large que ce qu'on a déjà eu ici comme dialogue national. Le Sénégal est un pays de tradition de concertation de discussion où on se met autour d'une question et on se concerte » propose-t-il.
Cependant, il propose deux points à discuter : « sur la loi électorale et le système de parrainage ».
Toutefois, il note que « le Conseil constitutionnel n'a pas à compter les parrainages, les doublons internes ou externes. Il a mieux à faire, c'est de dire le droit et de veiller sur notre charte fondamentale. Et donc nous pensons que c'est une grave erreur de confier au Conseil constitutionnel la question des parrainages. Une structure plus technique comme la CENA ou autre pouvait avec l'appui de techniciens se mettre autour d'une table et travailler » dénonce le parlementaire.
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