En conférence de presse ce mercredi, le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS) a déploré le mutisme du ministre de la communication face aux difficultés de la presse. Après le 17 juillet dernier, suite à la rencontre avec le ministre de la communication pour lui faire part des difficultés auxquelles la presse est confrontée, le CDEPS estime qu’il y’a eu un relevé de décisions, mais la matérialisation n’a pas suivi. « Après l’appel au dialogue rénové lancé par le président de la république, nous nous attendions à ce que des efforts puissent être consentis notamment de la part du ministre Alioune Sall. Depuis lors les relations avec la presse sont extrêmement difficiles », regrette Maïmouna Ndour Faye constatant avec regret que le ministre est en train de dérouler sa feuille de route en faisant fi de tout appel aux concertations.
Visiblement, dit-elle, le ministre attend d’être saisi par lettre constituant une demande d’audience pour s’ouvrir à la presse. « Mais nous tenons à rappeler que nous lui avons déjà adressé deux demandes qui sont restées sans suite. Toutefois, une autre demande lui sera adressée », annonce le patronat de la presse.
En attendant, le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS) indique que la situation de la presse est en train de se détériorer de jour en jour depuis la pandémie Covid-19. Et ce qui a empiré la situation de la presse selon Maïmouna Ndour Faye, on peut citer « la rupture des contrats et conventions, et le fait de bannir la presse privée en ce qui concerne la publicité ».
Visiblement, dit-elle, le ministre attend d’être saisi par lettre constituant une demande d’audience pour s’ouvrir à la presse. « Mais nous tenons à rappeler que nous lui avons déjà adressé deux demandes qui sont restées sans suite. Toutefois, une autre demande lui sera adressée », annonce le patronat de la presse.
En attendant, le Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS) indique que la situation de la presse est en train de se détériorer de jour en jour depuis la pandémie Covid-19. Et ce qui a empiré la situation de la presse selon Maïmouna Ndour Faye, on peut citer « la rupture des contrats et conventions, et le fait de bannir la presse privée en ce qui concerne la publicité ».
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