La Convergence des Étudiants et Jeunes Diplômés du Sénégal (CEJED), par la voix de son Président, Mamadou Coumba Diouf, confie que la crise qui gangrène le système éducatif n’est que la résultante des revendications des syndicats d’enseignants, jugeant qu’elle ne sera résolue qu’avec la fin des grèves récurrentes.
A cet effet, la CEJED trouve que la solution ne saurait être exclusivement syndicale, même si le bien-être moral et matériel des enseignants doit être une priorité pour le gouvernement.
Par conséquent, la Convergence invite toutes les parties à redoubler d’efforts et surtout à créer les conditions, dans un contexte de reprise des cours, pour que dans les différentes académies, le rattrapage puissent se faire, en vue d’atteindre le « quantum horaire » et ainsi éviter la baisse du niveau des élèves.
Elle appelle par ailleurs une mobilisation des partenaires sociaux pour sauver l’école sénégalaise : « Il nous faut tous nous mobiliser, que ce soit l’Etat, les enseignants, les élèves, les parents d’élèves ou les étudiants pour une mise en application des recommandations prises lors des Assises de l’école ».
Par ailleurs, elle indexe les syndicats de l'enseignement sans exception aucune, qui, selon ces Étudiants et Jeunes Diplômés ont leur part de responsabilité dans cette situation très déplorable.
Enfin, la convergence d’avancer que la résolution définitive des problèmes de l'éducation ne pourra passer que par la volonté commune et sincère des pouvoirs publics et des syndicats de l'enseignement à travailler sérieusement pour un impératif de résultats dans les écoles, mais aussi pour le bien-être des acteurs de l'éducation, afin que le système éducatif sénégalais puisse être compétitif dans un monde qui est en pleine mutation, vu l'avancée significative des nouvelles technologies.
A cet effet, la CEJED trouve que la solution ne saurait être exclusivement syndicale, même si le bien-être moral et matériel des enseignants doit être une priorité pour le gouvernement.
Par conséquent, la Convergence invite toutes les parties à redoubler d’efforts et surtout à créer les conditions, dans un contexte de reprise des cours, pour que dans les différentes académies, le rattrapage puissent se faire, en vue d’atteindre le « quantum horaire » et ainsi éviter la baisse du niveau des élèves.
Elle appelle par ailleurs une mobilisation des partenaires sociaux pour sauver l’école sénégalaise : « Il nous faut tous nous mobiliser, que ce soit l’Etat, les enseignants, les élèves, les parents d’élèves ou les étudiants pour une mise en application des recommandations prises lors des Assises de l’école ».
Par ailleurs, elle indexe les syndicats de l'enseignement sans exception aucune, qui, selon ces Étudiants et Jeunes Diplômés ont leur part de responsabilité dans cette situation très déplorable.
Enfin, la convergence d’avancer que la résolution définitive des problèmes de l'éducation ne pourra passer que par la volonté commune et sincère des pouvoirs publics et des syndicats de l'enseignement à travailler sérieusement pour un impératif de résultats dans les écoles, mais aussi pour le bien-être des acteurs de l'éducation, afin que le système éducatif sénégalais puisse être compétitif dans un monde qui est en pleine mutation, vu l'avancée significative des nouvelles technologies.
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