C'est à travers un communiqué de presse que la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (LSDH) et Amnesty International Sénégal (AIS) appellent la population à respecter les mesures liées à l’état d’urgence, le couvre-feu en particulier.
À cet effet, elles rappellent aussi que les autorités étatiques et les forces de défense et de sécurité doivent respecter les lois en toute circonstance.
Dans le document reçu par la rédaction de Dakaractu, il est mentionné que les seules sanctions encourues par les personnes qui ne respectent pas les mesures en vigueur, dont le couvre-feu, sont celles prévues par l’article 21 de la loi 69-29 du 29 avril 1969 relative à l’état d’urgence et à l’état de siège, à savoir un emprisonnement de 2 mois à 2 ans et une amende de 20 000 francs à 500 000 francs ou de l’une de ces deux peines seulement.
Ainsi, la même source renseigne également que les actes de violence contre les personnes, qui ont été largement documentés lors du couvre-feu qui a duré du 23 mars au 30 juin 2020 ne doivent pas être tolérés et leurs auteurs doivent être traduits devant la justice.
Par ailleurs, les organisations exigent les autorités à prendre les dispositions utiles pour faciliter les déplacements de personnes pendant le couvre-feu, en cas d’urgence médicale ou familiale et les porter à la connaissance du public.
Pour rappel, le Chef de l'État a pris le mardi 05 janvier 2021 un décret instituant l’état d’urgence dans les régions de Dakar et de Thiès à compter du mercredi 06 janvier. L’état d’urgence, qui est assorti d’un couvre-feu de 21 heures à 06 heures, est destiné à endiguer la recrudescence des cas de Covid-19 dans ces deux régions.
À cet effet, elles rappellent aussi que les autorités étatiques et les forces de défense et de sécurité doivent respecter les lois en toute circonstance.
Dans le document reçu par la rédaction de Dakaractu, il est mentionné que les seules sanctions encourues par les personnes qui ne respectent pas les mesures en vigueur, dont le couvre-feu, sont celles prévues par l’article 21 de la loi 69-29 du 29 avril 1969 relative à l’état d’urgence et à l’état de siège, à savoir un emprisonnement de 2 mois à 2 ans et une amende de 20 000 francs à 500 000 francs ou de l’une de ces deux peines seulement.
Ainsi, la même source renseigne également que les actes de violence contre les personnes, qui ont été largement documentés lors du couvre-feu qui a duré du 23 mars au 30 juin 2020 ne doivent pas être tolérés et leurs auteurs doivent être traduits devant la justice.
Par ailleurs, les organisations exigent les autorités à prendre les dispositions utiles pour faciliter les déplacements de personnes pendant le couvre-feu, en cas d’urgence médicale ou familiale et les porter à la connaissance du public.
Pour rappel, le Chef de l'État a pris le mardi 05 janvier 2021 un décret instituant l’état d’urgence dans les régions de Dakar et de Thiès à compter du mercredi 06 janvier. L’état d’urgence, qui est assorti d’un couvre-feu de 21 heures à 06 heures, est destiné à endiguer la recrudescence des cas de Covid-19 dans ces deux régions.
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