« Un véritable carnage ». C'est ainsi que les témoins de la scène résument l’attentat-suicide du samedi 25 juillet à Maroua. Il est environ 20h lorsqu’un kamikaze se fait exploser dans un bar très fréquenté de la ville.
D’autres sources évoquent deux kamikazes. Une jeune fille d’environ 12 à 13 ans et un homme. Bilan : une vingtaine de morts et une soixantaine de blessés, soit un bilan encore plus lourd que celui du double attentat-suicide de mercredi dernier dans la même ville.
Maroua, qui ne s’était pas encore remise des précédents attentats, a aussitôt replongé dans la stupeur. Des témoins rapportent que les commerces ont aussitôt fermé. Le gouvernement a dans la foulée appelé les populations au calme et les a invité à une meilleure collaboration avec les forces de défense et de sécurité dans la recherche de renseignements.
En moins d’un mois, c’est la troisième attaque suicide dans l’Extrême-Nord du Cameroun. Une série d’attentats qui n'est toujours pas revendiquée mais qui, pour tous les observateurs, seraient l’œuvre des jihadistes du groupe Etat islamique pour l'Afrique de l'Ouest, ex-Boko Haram.
D’autres sources évoquent deux kamikazes. Une jeune fille d’environ 12 à 13 ans et un homme. Bilan : une vingtaine de morts et une soixantaine de blessés, soit un bilan encore plus lourd que celui du double attentat-suicide de mercredi dernier dans la même ville.
Maroua, qui ne s’était pas encore remise des précédents attentats, a aussitôt replongé dans la stupeur. Des témoins rapportent que les commerces ont aussitôt fermé. Le gouvernement a dans la foulée appelé les populations au calme et les a invité à une meilleure collaboration avec les forces de défense et de sécurité dans la recherche de renseignements.
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