Comment vous est venue l’idée de lancer le journal AlloDakar ?
Depuis mon retour d’Italie, c’était mon seul projet. J’avais envie d’investir quelque chose sur fonds propres, et j’ai pris contact avec un ami journaliste à qui j’ai exposé le projet. Nous avons discuté ensemble sur le titre, les modalités et le style de journal que nous voulons faire. Ensuite j’ai dégagé les fonds et depuis ce jour, le journal se porte à merveille.
Le genre que vous faites, le People, n’est pas bien vu par les gens ?
Nous sommes un peu en retard en matière de presse et c’est peut-être pourquoi le genre People tarde à décoller chez nous. Il y a les mentalités aussi. Seulement, je crois que nos aînés qui s’activaient dans le créneau ont fait des erreurs ou simplement qu’ils sont allés loin. Certains journaux ont heurté la morale des gens. Mais nous à Allodakar, nous avons opté pour un People propre et nous continuerons sur cette lancée. C’est moins le profit qui nous intéresse que la vie des gens importants, des modèles que nous offrons en exemple.
Qu’en est-il de la concurrence ?
Elle existe, mais pour nous, elle est stimulante. Le fait d’avoir d’autres journaux qui font dans le même genre nous réconforte. Notre option, c’est de servir une bonne information, crédible. Et qui dit People, dit stars, célébrités, vedettes, artistes. Donc il y a à boire et à manger dans le créneau. Quelles sont vos relations avec les mannequins Nous sommes la vitrine de la mode. Nous faisons régulièrement la promotion des métiers de la mode et les mannequins sont nos partenaires. Ce sont des sœurs avec qui nous entretenons de bonnes relations. Nous les aidons à aiguillonner leur carrière, à éviter les pièges de la vie.
Vous n’êtes pourtant pas tendre avec elles!
C’est vous qui le dites. Chacune de ses filles à eu sa page de gloire à Allodakar. Toutes ses chanteuses en herbe ont été vendues par notre journal, et jusqu’à présent, elles demandent des conseils pour leur avenir. On vous a vu à Khelcom, Touba, dans des endroits rarement fréquentés par les journaux People… Vous venez de toucher le fond du problème. C’est ça notre marque de fabrique, nous faisons un People propre qui ne nous empêche pas de fréquenter des gens responsables et respectables. Ce sont des gens convaincus de la ligne éditoriale du journal qui font appel à notre expertise pour promouvoir leurs événements. A l’arrivée de Wade comme au procès de Karim, nous trouvons toujours des angles de traitement pour nos lecteurs.
Vous avez lancé le site www.allodakar.sn...
C’est la suite logique des investissements. Nous envisageons d’évoluer vers le format radio, puis télévision pourquoi pas. Les études sont très avancées et nous ferons tout pour grandir. Le site est déjà visible et offre chaque jour des exclusivités grâce à l’équipe professionnelle qui tient les produits du groupe.
Quelle est votre ambition dans la presse ?
Devenir le numéro 1 des journaux tous tirages confondus. Déjà que nous sommes leader dans notre domaine, si l’on se refaire aux ventes, nous nous battrons pour gagner d’autres parts de marché et nos partenaires sont prêts pour nous appuyer.
Depuis mon retour d’Italie, c’était mon seul projet. J’avais envie d’investir quelque chose sur fonds propres, et j’ai pris contact avec un ami journaliste à qui j’ai exposé le projet. Nous avons discuté ensemble sur le titre, les modalités et le style de journal que nous voulons faire. Ensuite j’ai dégagé les fonds et depuis ce jour, le journal se porte à merveille.
Le genre que vous faites, le People, n’est pas bien vu par les gens ?
Nous sommes un peu en retard en matière de presse et c’est peut-être pourquoi le genre People tarde à décoller chez nous. Il y a les mentalités aussi. Seulement, je crois que nos aînés qui s’activaient dans le créneau ont fait des erreurs ou simplement qu’ils sont allés loin. Certains journaux ont heurté la morale des gens. Mais nous à Allodakar, nous avons opté pour un People propre et nous continuerons sur cette lancée. C’est moins le profit qui nous intéresse que la vie des gens importants, des modèles que nous offrons en exemple.
Qu’en est-il de la concurrence ?
Elle existe, mais pour nous, elle est stimulante. Le fait d’avoir d’autres journaux qui font dans le même genre nous réconforte. Notre option, c’est de servir une bonne information, crédible. Et qui dit People, dit stars, célébrités, vedettes, artistes. Donc il y a à boire et à manger dans le créneau. Quelles sont vos relations avec les mannequins Nous sommes la vitrine de la mode. Nous faisons régulièrement la promotion des métiers de la mode et les mannequins sont nos partenaires. Ce sont des sœurs avec qui nous entretenons de bonnes relations. Nous les aidons à aiguillonner leur carrière, à éviter les pièges de la vie.
Vous n’êtes pourtant pas tendre avec elles!
C’est vous qui le dites. Chacune de ses filles à eu sa page de gloire à Allodakar. Toutes ses chanteuses en herbe ont été vendues par notre journal, et jusqu’à présent, elles demandent des conseils pour leur avenir. On vous a vu à Khelcom, Touba, dans des endroits rarement fréquentés par les journaux People… Vous venez de toucher le fond du problème. C’est ça notre marque de fabrique, nous faisons un People propre qui ne nous empêche pas de fréquenter des gens responsables et respectables. Ce sont des gens convaincus de la ligne éditoriale du journal qui font appel à notre expertise pour promouvoir leurs événements. A l’arrivée de Wade comme au procès de Karim, nous trouvons toujours des angles de traitement pour nos lecteurs.
Vous avez lancé le site www.allodakar.sn...
C’est la suite logique des investissements. Nous envisageons d’évoluer vers le format radio, puis télévision pourquoi pas. Les études sont très avancées et nous ferons tout pour grandir. Le site est déjà visible et offre chaque jour des exclusivités grâce à l’équipe professionnelle qui tient les produits du groupe.
Quelle est votre ambition dans la presse ?
Devenir le numéro 1 des journaux tous tirages confondus. Déjà que nous sommes leader dans notre domaine, si l’on se refaire aux ventes, nous nous battrons pour gagner d’autres parts de marché et nos partenaires sont prêts pour nous appuyer.
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