Longtemps rompu, le dialogue entre pouvoir et opposition pourrait bien être rétabli. Et ce après l’appel à la concertation lancée par le Président de la République, Macky Sall. Un appel qui ne laisse pas de marbre la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme (RADDHO) qui se félicite de la volonté exprimée par le Président de la République d'initier très prochainement le dialogue avec l'opposition politique et, en premier lieu, avec le Parti Démocratique Sénégalais (PDS).
Ainsi selon Abdoubacry Mbodj et Cie cet appel semble augurer d’une nouvelle ère vers le rétablissement du dialogue politique rompu avec certaines formations politiques bien avant l'alternance de 2012 au Sénégal.
« La RADDHO demeure convaincue que le rétablissement du dialogue politique entre le pouvoir et l'opposition est une nécessité pour la préservation de la paix civile, la stabilité, la sécurité et le développement économique et social du pays », note-t-il, non sans souligner qu’elle a toujours plaidé pour l'instauration d'un environnement propice à la concertation et au dialogue en vue de contribuer à la consolidation de l’Etat de droit et de la démocratie au Sénégal.
C’est dans ce cadre que les défenseurs des droits de l’homme exhortent l'ensemble des acteurs de la classe politique sénégalaise à se départir de leurs positions partisanes en faveur de l'intérêt général pour faire face aux nouvelles menaces à la paix, à la stabilité et à la sécurité auxquelles sont actuellement confrontés les pays africains dont le Sénégal.
Dans la même veine, elle invite tous les acteurs politiques à œuvrer dans le sens de la réussite du dialogue attendu, en vue de créer un climat d'apaisement propice au progrès économique et social du pays. La RADDHO ne conclura pas son propos sans exprimer son souhait de voir que ce dialogue envisagé soit étendu à la société civile, au secteur privé, aux syndicats ainsi qu'aux chefs coutumiers et religieux.
Ainsi selon Abdoubacry Mbodj et Cie cet appel semble augurer d’une nouvelle ère vers le rétablissement du dialogue politique rompu avec certaines formations politiques bien avant l'alternance de 2012 au Sénégal.
« La RADDHO demeure convaincue que le rétablissement du dialogue politique entre le pouvoir et l'opposition est une nécessité pour la préservation de la paix civile, la stabilité, la sécurité et le développement économique et social du pays », note-t-il, non sans souligner qu’elle a toujours plaidé pour l'instauration d'un environnement propice à la concertation et au dialogue en vue de contribuer à la consolidation de l’Etat de droit et de la démocratie au Sénégal.
C’est dans ce cadre que les défenseurs des droits de l’homme exhortent l'ensemble des acteurs de la classe politique sénégalaise à se départir de leurs positions partisanes en faveur de l'intérêt général pour faire face aux nouvelles menaces à la paix, à la stabilité et à la sécurité auxquelles sont actuellement confrontés les pays africains dont le Sénégal.
Dans la même veine, elle invite tous les acteurs politiques à œuvrer dans le sens de la réussite du dialogue attendu, en vue de créer un climat d'apaisement propice au progrès économique et social du pays. La RADDHO ne conclura pas son propos sans exprimer son souhait de voir que ce dialogue envisagé soit étendu à la société civile, au secteur privé, aux syndicats ainsi qu'aux chefs coutumiers et religieux.
Autres articles
-
Mali : L’armée annonce avoir neutralisé Abou Houzeifa dit Hugo, un haut responsable Djihadiste
-
Application de la DPI à partir du 01 mai : L’administration des Douanes donne des précisions et assurances
-
Litiges fonciers dans le département de Mbour: plusieurs communes dans le collimateur de l'Inspection générale d'État( IGE).
-
Visite en Guinée Bissau : Sécurité, Commerce, Culture et Pêche seront au cœur des discussions entre BDF et Umaro Embalo
-
Émission d’avis, de conseils et de contribution : Abdoul Mbaye dévoile sa nouvelle posture pour le régime de Diomaye