Lors de son réquisitoire, le représentant du ministère public a requis 2 ans de prison ferme contre les prévenus Massata Samb et Mamadou Niang. Selon le parquet, les faits de l'espèce sont têtus et constants. "Ils ne doivent pas bénéficier de sursis. Les enquêteurs se sont rendus chez Mamadou Niang et son épouse a déclaré qu'il n'était pas à la maison. Sur ces entrefaites, un avis de recherche a été lancé. Toutes les diligences qui ont été prises pour les arrêter ont été sans succès. Par la suite, Mamadou Niang a enlevé sa puce pour organiser son injoignilité. La question de l’immunité parlementaire n’est pas opérationnelle dans cette affaire compte tenu de l’article 51 de la loi du règlement intérieur de l’assemblée nationale",
indique-t-elle. Selon la parquetière, on ne peut pas concevoir qu’à l’Assemblée nationale des députés fassent de tels actes. Suffisant pour la représentante du ministère public de demander que les prévenus soient déclarés coupables des délits qui sont retenus contre eux avant de demander 2 ans de prison ferme contre eux pour coups et blessures ainsi que pour menace de mort...
indique-t-elle. Selon la parquetière, on ne peut pas concevoir qu’à l’Assemblée nationale des députés fassent de tels actes. Suffisant pour la représentante du ministère public de demander que les prévenus soient déclarés coupables des délits qui sont retenus contre eux avant de demander 2 ans de prison ferme contre eux pour coups et blessures ainsi que pour menace de mort...
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