"L'administration pénitentiaire n'a pas vocation de s'occuper des malades mentaux", telle est la précision du magistrat, ancien procureur devenu directeur adjoint des droits humains au ministère de la Justice.
Adama Ndiaye, de son nom, a participé à un atelier de la Ligue sénégalaise des droits humains (LSDH) sur la réinsertion sociale des détenus. Sur ce registre, le magistrat considère qu' "ils doivent être envoyés dans les centres psychiatriques. Le code a prevu pour les malades mentaux qui ne sont pas encore condamnés, mais si la maladie est découverte au moment de la détention, le décret 75/80 relatif à la gestion des maladies mentales a prévu ce cas", précise l'ex parquetier.
Le thème de cet atelier s'articule autour de "quelle formation pour les détenus en vue d'une réinsertion sociale ?"
Adama Ndiaye, de son nom, a participé à un atelier de la Ligue sénégalaise des droits humains (LSDH) sur la réinsertion sociale des détenus. Sur ce registre, le magistrat considère qu' "ils doivent être envoyés dans les centres psychiatriques. Le code a prevu pour les malades mentaux qui ne sont pas encore condamnés, mais si la maladie est découverte au moment de la détention, le décret 75/80 relatif à la gestion des maladies mentales a prévu ce cas", précise l'ex parquetier.
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