La secrétaire élue de l’Assemblée nationale, la députée Yéya Diallo a déversé sa colère sur les députés de l’opposition qu’elle accuse de vouloir brûler le pays.
« Malheureusement en venant à l’Assemblée, j’ai remarqué que le pays est sous tension. Je suis désolée qu’on rate le plus important, l’Assemblée avait le devoir d’accompagner le gouvernement dans sa logique de lutter contre le terrorisme. Je me demande si les opposants sont des terroristes, sont des criminels, si vous êtes des vandales parce que la violence me semble causée par des adultes qui devaient être des modèles, des symboles. Mais vous êtes en train d’attiser une violence qui n’existe pas dans ce pays. Vous ne pouvez pas brûler le pays, même si on nous emprisonne tous », dénoncera le député de la majorité.
La députée d'ajouter que « tout le monde sait que la notion du terrorisme est difficile à définir. Chaque État a le devoir de mettre en place un cadre juridique pour protéger ses populations. Cette loi est mise en place pour que le Sénégal se conforme aux conventions des Nations Unies, mais aussi aux actes de la Cedeao, de l’Uemoa. On devrait applaudir des deux mains... »
« Malheureusement en venant à l’Assemblée, j’ai remarqué que le pays est sous tension. Je suis désolée qu’on rate le plus important, l’Assemblée avait le devoir d’accompagner le gouvernement dans sa logique de lutter contre le terrorisme. Je me demande si les opposants sont des terroristes, sont des criminels, si vous êtes des vandales parce que la violence me semble causée par des adultes qui devaient être des modèles, des symboles. Mais vous êtes en train d’attiser une violence qui n’existe pas dans ce pays. Vous ne pouvez pas brûler le pays, même si on nous emprisonne tous », dénoncera le député de la majorité.
La députée d'ajouter que « tout le monde sait que la notion du terrorisme est difficile à définir. Chaque État a le devoir de mettre en place un cadre juridique pour protéger ses populations. Cette loi est mise en place pour que le Sénégal se conforme aux conventions des Nations Unies, mais aussi aux actes de la Cedeao, de l’Uemoa. On devrait applaudir des deux mains... »
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