Interrogé par Dakaractu sur la sortie de Me Boucounta Diallo s'opposant catégoriquement à la libération de Karim Wade, Alinard N'diaye le patron du mouvement Libérez Karim a descendu l'avocat en ces termes : " l'idée d'une libération prochaine de Karim Wade annoncée par le Chef de l'État empêche beaucoup de dormir; ce qui explique les multiples sorties de presse de tout ordre venant de partout. Seulement ces sorties ont le mérite de témoigner de la vitalité politique de Karim malgré son incarcération de plus de trois ans. La sortie de trop a été celle honteuse de Maître Boucounta Diallo qui à vraiment dire, a raté la belle occasion qui s'offrait à lui de se taire. Il a raison de parler de la sorte parce que contrairement à ce qu'il avance, il est loin d'être neutre dans le dossier de Karim. Il a été un élément clef de ce dossier, raison pour laquelle, nous l'invitons à éclairer la lanterne des sénégalais que nous sommes sur ses accointances et sa fréquentation assidue avec l'une des pièces maîtresse du dossier, j'allais dire celui par qui tout est arrivé, je veux nommer Patrick Ady Williams.
L'éminent "droit de l'hommiste" Maître Boucounta Diallo, ancien président de l'Ondh s'est tu au moment où ses valeureux et courageux collègues des autres ONG ont élevés la voix pour dénoncer avec force les séries de violations des droits humains de Karim durant toute cette longue procédure. Où est-ce qu'il était quand Mr Florence Geel, Directeur Afrique de la Fidh et trois ONG sénégalais (LSDH, RADDHO, ONDH) signaient le communiqué mémorable du 5 juin 2014 sur le caractère inéquitable du procès de Karim Wade.
L'autre contradiction de Me Diallo, c'est qu'il oublie qu'il a tenu le 8 janvier 2015 au cours d'une émission de télévision les propos suivants que je cite : l'État du Sénégal a commis des erreurs de communication dans ce dossier en faisant croire à l'opinion que cette procédure allait déboucher sur la récupération de biens qui ont été pris à ce même Etat." De même, il déclare " ne pas comprendre la constitution de partie civile de l'État du Sénégal dans une affaire ou l'état n'est nullement spolié."
Aujourd'hui, il revient dans le seul but de nuire à Karim, nous parler de détournement de deniers publics ou de crime économique dont Karim serait l'auteur. Il a sûrement fait semblant d'oublier qu'aucune structure de contrôle de l'État du Sénégal n'a épinglé Karim durant ses différentes gestions à l'ANOCI, comme aux différents ministères où il est passé.
Maître Diallo, doit dire aux sénégalais aussi qu'il était l'avocat de qui nous savons quand le protocole de Rebeuss fut paraphé. Qu'il sache en tant que brillant avocat et juriste émérite que la grâce relève exclusivement du pouvoir du Chef de l'État, et comme tel, aucun prisonnier ne peut la refuser comme l'atteste la jurisprudence DIAS.
La libération de Karim Wade est irréversible, n'en déplaise aux jaloux, aigris, cagoulards et opportunistes politiciens."
L'éminent "droit de l'hommiste" Maître Boucounta Diallo, ancien président de l'Ondh s'est tu au moment où ses valeureux et courageux collègues des autres ONG ont élevés la voix pour dénoncer avec force les séries de violations des droits humains de Karim durant toute cette longue procédure. Où est-ce qu'il était quand Mr Florence Geel, Directeur Afrique de la Fidh et trois ONG sénégalais (LSDH, RADDHO, ONDH) signaient le communiqué mémorable du 5 juin 2014 sur le caractère inéquitable du procès de Karim Wade.
L'autre contradiction de Me Diallo, c'est qu'il oublie qu'il a tenu le 8 janvier 2015 au cours d'une émission de télévision les propos suivants que je cite : l'État du Sénégal a commis des erreurs de communication dans ce dossier en faisant croire à l'opinion que cette procédure allait déboucher sur la récupération de biens qui ont été pris à ce même Etat." De même, il déclare " ne pas comprendre la constitution de partie civile de l'État du Sénégal dans une affaire ou l'état n'est nullement spolié."
Aujourd'hui, il revient dans le seul but de nuire à Karim, nous parler de détournement de deniers publics ou de crime économique dont Karim serait l'auteur. Il a sûrement fait semblant d'oublier qu'aucune structure de contrôle de l'État du Sénégal n'a épinglé Karim durant ses différentes gestions à l'ANOCI, comme aux différents ministères où il est passé.
Maître Diallo, doit dire aux sénégalais aussi qu'il était l'avocat de qui nous savons quand le protocole de Rebeuss fut paraphé. Qu'il sache en tant que brillant avocat et juriste émérite que la grâce relève exclusivement du pouvoir du Chef de l'État, et comme tel, aucun prisonnier ne peut la refuser comme l'atteste la jurisprudence DIAS.
La libération de Karim Wade est irréversible, n'en déplaise aux jaloux, aigris, cagoulards et opportunistes politiciens."
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