La sortie du Président Macky Sall sur le fonctionnement de l’Apr avec ses querelles intestines a donné bien des réflexions à certains responsables du parti. C’est le cas de N'dèye Soukèye Guèye qui estime que les responsabilités sont partagées et qu’elles se situent à plusieurs niveaux.
La responsable du Réseau pour la Synergie des femmes de Thiès et du « Cap Forces 35 » préfère aborder le problème sous un autre angle. Pour elle, « en exprimant ses inquiétudes sur l’attitude négative du dispositif qu’il a installé à la tête du parti, le président Macky Sall avoue par là que son propre coaching n’a pas su imposer les équilibres nécessaires à la cohésion générale. » N'dèye Soukèye Guèye de poursuivre : « Il dit que le parti est jeune et le contexte national socialement précaire. Ce qui devrait appeler toutes les expertises et compétences avérées à jouer leur rôle. Pendant ce moment, regrette-t-elle, certains se crêpent le chignon et la cravate devant le silence et l’indifférence du chef.»
La Républicaine de conclure sur ce point, la mort dans l’âme, que « le plus grand malheur de l’Apr, c’est que notre mentor présidait en ne présidant pas ce parti qui est gangrenée par des politiciens du dimanche que les lambris et la fraîcheur des split ont amolli : ceux là seront difficilement recyclables par les diatribes de notre leader qui va plus vite que les autres. Malgré les besoins d’ouverture et de massification, l’heure a également sonné pour que le parti se penche sur l’horizon de tous ces responsables demeurés à sa base, et qui ont fait montre de compétence pour occuper des positions plus conformes à leur trajectoire. »
Autrement dit, tente d’expliquer N'dèye Soukèye Guèye, il est plus que temps de penser à toutes ces personnes qui ont été laissées en rade. Se référant au livre Saint de l’Islam, elle rappelle que « Le Créateur de l’univers et des hommes a même garanti la légitimité aux anciens et premiers compagnons, en leur promettant la position de « plus rapprochés », avant de citer la sourate ‘’l’événement ‘’ dans ses versets 10 et 11: « les premiers seront les premiers, ceux-là seront les plus proches de moi. »
La responsable politique de signaler que tout système, pour être pérenne et durable, a besoin de s’appuyer sur ses pionniers. « Les exclure des positions de proximité peut créer des crises et désordres qui menacent la survie du système. Cependant, il est fort à craindre que des résistances vont se manifester ça et là, car les mauvaises habitudes deviennent une nature indélébile. » Pour terminer, elle se demandera si l’appel du patron de l’Apr n’est pas bien parti pour tomber dans les oreilles « perdues par de grandes ambitions et de petits intérêts. »
La responsable du Réseau pour la Synergie des femmes de Thiès et du « Cap Forces 35 » préfère aborder le problème sous un autre angle. Pour elle, « en exprimant ses inquiétudes sur l’attitude négative du dispositif qu’il a installé à la tête du parti, le président Macky Sall avoue par là que son propre coaching n’a pas su imposer les équilibres nécessaires à la cohésion générale. » N'dèye Soukèye Guèye de poursuivre : « Il dit que le parti est jeune et le contexte national socialement précaire. Ce qui devrait appeler toutes les expertises et compétences avérées à jouer leur rôle. Pendant ce moment, regrette-t-elle, certains se crêpent le chignon et la cravate devant le silence et l’indifférence du chef.»
La Républicaine de conclure sur ce point, la mort dans l’âme, que « le plus grand malheur de l’Apr, c’est que notre mentor présidait en ne présidant pas ce parti qui est gangrenée par des politiciens du dimanche que les lambris et la fraîcheur des split ont amolli : ceux là seront difficilement recyclables par les diatribes de notre leader qui va plus vite que les autres. Malgré les besoins d’ouverture et de massification, l’heure a également sonné pour que le parti se penche sur l’horizon de tous ces responsables demeurés à sa base, et qui ont fait montre de compétence pour occuper des positions plus conformes à leur trajectoire. »
Autrement dit, tente d’expliquer N'dèye Soukèye Guèye, il est plus que temps de penser à toutes ces personnes qui ont été laissées en rade. Se référant au livre Saint de l’Islam, elle rappelle que « Le Créateur de l’univers et des hommes a même garanti la légitimité aux anciens et premiers compagnons, en leur promettant la position de « plus rapprochés », avant de citer la sourate ‘’l’événement ‘’ dans ses versets 10 et 11: « les premiers seront les premiers, ceux-là seront les plus proches de moi. »
La responsable politique de signaler que tout système, pour être pérenne et durable, a besoin de s’appuyer sur ses pionniers. « Les exclure des positions de proximité peut créer des crises et désordres qui menacent la survie du système. Cependant, il est fort à craindre que des résistances vont se manifester ça et là, car les mauvaises habitudes deviennent une nature indélébile. » Pour terminer, elle se demandera si l’appel du patron de l’Apr n’est pas bien parti pour tomber dans les oreilles « perdues par de grandes ambitions et de petits intérêts. »
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