Macky2012 accuse les leaders du Pds et de Rewmi : «Wade et Idy cherchent à récupérer la crise universitaire»


Macky2012 accuse les leaders du Pds et de Rewmi : «Wade et Idy cherchent à récupérer la crise universitaire»

Macky2012 constate que l’ancien président de la République, Abdoulaye Wade, et l’ancien Premier ministre, Idrissa Seck, «cherchent à récupérer» la crise universitaire pour «déstabiliser» le pays. «Nous sommes déterminés à leur barrer la route. Le combat sera partout. La coalition Macky2012 se battra aux côtés du président de la République et contre les fossoyeurs pour que notre nouvelle démocratie ne soit pas mise à terre», a averti hier cette coalition de la majorité présidentielle qui était en conférence de presse.

Le coordonnateur de Macky2012, Ndane Diouf, dit avoir reçu des étudiants de l’Université Cheikh Anta  Diop de Dakar (Ucad) «dans le désarroi» et qui cherchent à être «appuyés moralement». Pour M. Diouf, aujourd’hui, beaucoup de gens qui n’osaient plus parler depuis un certain temps ont commencé à se faire entendre pour manifester leur présence. Allusion faite à ceux qui «attisent le feu» à l’université, comme l’avait dit le Président Sall à son retour de France. «Mais comprenez que c’est leur survie qui se joue parce que la traque des biens mal acquis a mis la peur dans leur camp. Certains intellectuels mal intentionnés, se nourrissant de rumeurs, continuent, par la voix épistolaire, à dire des choses qui ne sont pas conformes à la vérité», dénoncent les membres de Macky2012. Ndane Diouf et ses camarades se considèrent comme une «sentinelle derrière le président de la République pour le soutenir dans toute sa politique, construire autour de lui une force capable de riposter à l’adversité politique qui est en train de se dessiner».  

Pressafrik


Mercredi 20 Août 2014




1.Posté par maaz le 20/08/2014 11:22
Ce sont deux indignes, une honte pour le Sénégal

2.Posté par Atpico le 20/08/2014 11:50
Si Macky limoge son ministre de l'éducation nationale ce sera une
nouvelle reculade de l'état de droit, ce sera un nouvel aveu de son
inconsistance, de son inconséquence . Car Il devrait - si on s'en
tient au constat des nombreuses bavures policières - limoger aussi son
ministre de l'intérieur. Mais dans tous les cas, aprés la faute totale
qu'a constitué sa visite compassionnelle aux étudiants blessés, l'achat immédiat du
silence de la famille de l'étudiant assassiné, puis la mise en liberté de
tous les manifestants arrêtés, Macky "le poltron" démontre qu'il n'a
aucun sens de l'intéret général et aucun sens de la dignité de sa
fonction de chef d'état et qu'il est tout juste un" vulgaire" politicien
seulement préoccupé de sa popularité, de sa ré - élection , pas des besoins
essentiels du pays sur le long terme, pas du respect minimal des lois républicaines. Mais bon;
l'impunité donnée et redonnée sans cesse aux marabouts voyous de touba et d'ailleurs, en a été le signe majeur
il y a quelque mois déjà ...Hélas, trois fois hélas puisque que ses challengers sont aussi poltrons et électoralistes que lui !

3.Posté par Balla Sall le 20/08/2014 12:00
Vous dites que Idy fait dans la récupération en recevant des étudiants dans le désarroi .Et vous tocards qu'est ce que vous faites en recevant ces mêmes étudiants?Un peu de jugeote quand même .C'est vrai que votre intelligence vous a échappé depuis qu'on vous a mis à la porte du banquet .Alors arrêtez de gloser sur les sorties de Idy,il est dans sa posture d'opposant.Ndane vous faites dans le"wakhaalé"politique,dans la prostitution médiatique pour vendre votre charme afin de décrocher un poste juteux comme du reste un certain Me Youm,travesti à ses heures perdues,a réussi.Sachez que vos attaques de sentinelles ""derrière """le Macky embourbé dans les mangroves du lac Tann(charognard), ne vous méneront à rien du tout.Nous sommes vacciné et rien ne nous fera dévier de la droiture .A bon entendeur,rangez vos piques et pelles ,vous ne nous enterrerez jamais comme vous l'avez fait à Bachir Faye.

4.Posté par SENEGAL5 le 20/08/2014 19:19
SAISINE DU PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE,
Du 23/02/2012 sous le numéro 2964
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Monsieur le Procureur de la République du Sénégal
Tribunal de Grande Instance de Dakar

Dakar, le 08 février 2012

Objet : Demande d’ouverture d’une information judiciaire sur des faits de nature à constituer des crimes et délits

Monsieur le Procureur

En ma qualité de conseil d’un citoyen sénégalais qui a découvert un remède naturel contre le sida et son virus le VIH en 2000, j’ai effectué des investigations afin de mieux cerner ce dossier.
Les premières informations reçues de 2002 à 2003, m’ont permis d’appréhender les enjeux autour de découverte. L’option de la publication d’un livre a été retenue.
Durant le mois de mars 2004, j’ai publié à Dakar : «Le sida vaincu. La face cachée de la grande découverte sénégalaise».
La seconde édition de ce livre, qui est une mise à jour de la première, a été publiée à Abidjan durant le mois d’octobre 2009 : «Le sida vaincu. La vérité en marche ».
Il est classiquement admis, dans les législations de quasiment tous les pays du monde, que si, dans l’exercice d’une quelconque activité, une personne est amenée à détenir des informations sur des faits susceptibles de constituer des infractions aux lois, celle-ci doit en informer les autorités compétentes.
En ce qui me concerne, je ne compte pas déroger à cette règle universelle, surtout, vu les enjeux des informations qui ont été portées en ma connaissance.
L’exploitation et la synthèse des informations reçues, dans le dossier du remède sénégalais, me permettent de soutenir la thèse suivante :

1. Un citoyen sénégalais a fait une découverte à gros enjeux : un remède contre le Sida et son
virus, qui pèsent des milliards d’euros par an.
2. En juillet et Août 2002, Madame le ministre Eva Marie COLL SECK, qui a été saisie en janvier 2002, avait organisé des essais précliniques et cliniques au CHU de Fann, sous la Direction des Professeurs BASSENE et SOW.
3. Le 04 Novembre 2002, Monsieur Idrissa SECK remplace Madame Mame Madior BOYE à
la Primature.
4. Le 20 Novembre 2002, les résultats scientifiques, cliniques, biologiques et toxiques, ont été
publiés.
5. Madame Eva Marie COLL SECK qui n’était pas ministre d’Etat a saisi son supérieur hiérarchique, donc, le chef du gouvernement.
6. Monsieur Idrissa SECK, voulant profiter personnellement de ce remède a « fabriqué » son propre inventeur. Et il a ainsi contrôlé ce dossier en haut lieu.
7. Avec ce faux inventeur et les résultats obtenus en phase préclinique au département de la pharmacognosie et en phase clinique à la Clinique Iba Mar DIOP du CHU Fann, il a utilisé ce dossier en destination de plusieurs cibles, notamment pour collecter des fonds.
8. Il faut savoir que le Sénégal est réputé pour la qualité de ses chercheurs et praticiens médicaux et surtout de sa Faculté de Médecine. Madame le ministre COLL SECK, infectiologue et virologue, spécialiste du sida, venait de diriger l’ONUSIDA de 1991 à 2001, (Afrique Caraïbe, Asie, Amérique Latine, Europe centrale et orientale), elle a plus de 150 publications à son actif. Le premier scientifique au monde qui a décrit le HIV2 est un sénégalais qui dirige le laboratoire de virologie de l’HALD et notre Faculté de médecine fait
partie des meilleures au monde.
9. Ce dossier a donc permis à Monsieur SECK de collecter des milliards en provenance de deux cibles :
•Ceux qui voient leurs produits et marchés, menacés par ce remède
•Ceux qui souhaitent profiter de ce remède pour en acquérir des avantages stratégiques et financiers
Ces deux cibles sont concentrées dans les pays développés et utilisent ce qu’on appelle l’intelligence économique, elles fonctionnent aussi par le canal de l’espionnage économique et industriel. Ces cibles sont financées en grande partie par ce que les occidentaux appellent les fonds secrets. Maintenant ce sont ces fonds secrets qui ont financé une grande partie des « fonds politiques » d’Idrissa SECK et de ses complices. Ce sont des fonds collectés pour le compte d’un parti politique qui, elle, est une association privée de personnes.

L’intelligence économique est l'ensemble des activités coordonnées de collecte, de traitement (d'analyse), de diffusion et de protection de l'information utile aux acteurs économiques d’une puissance industrielle et économique. On peut y ajouter les actions d'influence et de notoriété : c’est cette dernière action qui a bloqué l’Afrique du Sud qui avait répondu positivement à la construction d’une unité africaine de production de médicament basée sur ce remède. Après la visite historique de deux Présidents de la République Sud Africaine (R.S.A) en 2004, suivie de celle de la puissante ministre des affaires étrangères Nkossazana Dlamini ZUMA, la France a envoyé son ministre de la santé Philippe Douste BLAZZY pour proposer au Sénégal la construction d’un laboratoire pharmaceutique qui allait produire des ARV génériques sous licence offerte gratuitement par le pays de CHIRAC.

Les spécialistes du domaine résument l'intelligence économique en un triptyque : veille (acquérir l'information stratégique pertinente), protection des informations (ne pas laisser connaître ses informations sensibles) et influence (propager une information ou des normes de comportement et d'interprétation qui favorisent sa stratégie).

Dans le principal pays qui est au centre de ces cibles, il y a la France. Dans ce pays, l’intelligence économique est entre les mains de la Direction Centrale du Renseignement Intérieur (D.C.R.I). L’IRD est un organe central de collecte d’informations stratégiques pour
le compte de la DCRI.

La Direction de la Surveillance du Territoire (D.S.T) était un service de renseignements du
ministère de l'Intérieur français, au sein de la Direction Générale de la Police Nationale, chargé historiquement du contre-espionnage, qui a certes diminué, depuis la disparition du Bloc Soviétique. Il faut y ajouter la protection du patrimoine économique et scientifique français.
Le 1er juillet 2008, la DST a fusionné avec la Direction centrale des Renseignements généraux (RG) au sein d'une nouvelle direction qui a pris le nom de : Direction centrale du renseignement intérieur (D.C.R.I).

10. Pour arriver à ses fins, et fournir des informations à ces cibles, Idrissa SECK avait mis en place un réseau d’espionnage qui avait son QG sur l’avenue Georges Pompidou et qui a d’ailleurs été démantelé au lendemain de son limogeage à la Primature. En plus d’Idrissa SECK, le cerveau de ce réseau, les personnes mises en cause pour espionnage en complicité avec des américains et arrêtées à l’époque s’appellent, Demba Lahat LÔ et Eric GBODOSSOU. L’avocat de ces derniers Maître Clédor Ciré LY dira d’ailleurs lors de ses plaidoiries avant le délibéré du 16 novembre 2011 : « L’affaire Idrissa SECK s’est éteinte. C’est pourquoi, les véritables responsables de ce réseau d’espionnage ne seront jamais poursuivis. »

11. Le commanditaire principal de ce réseau d’espionnage était Idrissa SECK en personne et l’objectif était de percer le secret du nom des plantes utilisées en vue de s’enrichir illicitement en intelligence avec ses cibles. Il avait déjà fabriqué son faux inventeur, il ne restait que les noms exacts des plantes.

12. Il est judicieux d’imaginer ce qu’il serait advenu de l’inventeur et de moi-même s’il avait réussi à connaître le nom des plantes.

ELEMENTS D’INFORMATIONS A AJOUTER A CETTE SAISINE

En Septembre 2005, alors qu’il était en prison, Idrissa SECK s’est ouvert à Monsieur Amath DANSOKHO en faisant des aveux sur les vraies raisons de sa brouille avec WADE. Ces aveux ont fait la une de la presse, le mardi 6 septembre 2005, dans les principales éditions, dont « l’Observateur et Walf ».

« Idrissa SECK avoue les véritables raisons de sa brouille avec WADE ».
Dixit, Idrissa SECK : « Je n’ai pris aucun sou du Sénégal, ce sont des chèques qui ont un propriétaire connu et qui sera connu de tous le moment venu. »

En janvier 2006, Idrissa SECK, qui répondait devant les juges de la Haute Cour de Justice, a évoqué des comptes abritant une partie de cet argent localisé à la CBAO, SGBS et en France. Il rajoute que Monsieur Victor KANTOUSSAN, garde rapproché de Karim WADE a retiré des chèques d’un montant total de cinq milliards et demie (5.500.000.000) de FCFA en une semaine.

En novembre 2006, Monsieur SECK répondait encore aux juges de la Haute Cour de Justice. Il révéla qu’il détient de l’argent, mais que ce sont des fonds politiques dont il a la garde et qui proviennent d’une collecte internationale.

En mars 2004, après avoir reçu le livre : « le sida vaincu », Monsieur Bassirou MBACKE Conseiller scientifique du Président de la République, qui était chargé du dossier me reçut. Monsieur MBACKE à moi : Etes vous sûr Monsieur DIOP que le Président n’a jamais reçu l’inventeur ?

Moi : Le président ne l’a jamais reçu, j’en suis sûr.
Lui : Alors il va falloir protéger le président.
Lui : Monsieur DIOP, attendez-vous à une autre version servie par une haute autorité.
Monsieur le Procureur, le reste des informations se trouve dans le livre que j’ai publié dont un exemplaire est joint à cette saisine.

Personnellement, je suis convaincu que les milliards qui sont entre les mains d’Idrissa SECK sont le fruit d’une collecte effectuée par une organisation criminelle, qui a utilisé un remède qui menace un marché de quatre cent (400) Milliards d’euros, mais qui doit sauver des millions de personnes et surtout l’Afrique.
Ce sont ces milliards qui lui ont aussi permis de se placer deuxième en 2007, en finançant une
campagne de communication basée sur une stratégie de victimisation utilisant un slogan à la mode « dévolution monarchique du pouvoir ».

On se dirige vers les élections de 2012 et il faut que les prétendants à la magistrature suprême soient des personnes qui ont un sens profond de l’Etat, de la Justice, de l’Ethique, de l’Honneur et de la Morale. Cette saisine n’a rien à voir avec les chantiers de Thiès, et heureusement que cela a aboutit à un non lieu ; mais il est question de la vraie origine des fonds que détiennent Idrissa SECK et pour lesquels il a fait des aveux clairs en 2005 et relayés par la presse. Nous sommes en 2012, Idrissa SECK n’est jamais revenu sur ces aveux qu’il a réitérés durant le mois de novembre 2006 : « Si les juges ou l’Assemblée Nationale me demandaient clairement, d’où viennent ces milliards, je vais le dire ».

Pour les poursuites éventuelles, il faudra faire la distinction entre Idrissa SECK personne privée (TGI) et le chef du gouvernement (HCJ).

Idrissa SECK personne privée et ses complices

Pour disqualifier les juges de la HCJ, il a dit qu’il détient des fonds politiques qu’il a collectés : cela veut dire que c’est une affaire privée. Un parti politique est une association privée de personnes.
Les fonds ont donc été collectés en sa qualité de membre privé de ladite association pour alimenter le trésor de guerre de celle-ci, qui facilitera la conservation et/ou la transmission interne du pouvoir. C’est d’ailleurs pourquoi il dira qu’il est actionnaire majoritaire du PDS, pour légitimer le refus de rendre cet argent à Monsieur WADE.

Eventuelles poursuites pour : escroquerie, association de malfaiteurs, blanchiment de capitaux

Idrissa SECK chef du Gouvernement et complices

La santé publique appartient à l’Etat, le sida est un problème de santé publique et des droits fondamentaux de l’homme. Un chef du gouvernement a été saisi d’un remède contre le sida avec tous ses enjeux économiques, humains et sociaux. Il a étouffé et détourné l’affaire à son profit personnel, au profit de ses complices mais aussi au profit de l’étranger.

Poursuites éventuelles : Haute trahison, violation grave des droits de l’homme, espionnage et enrichissement illicite.

PIECES JOINTES :
1. Livre : « Le Sida vaincu. La vérité en marche »
Edition : Abidjan octobre 2009
Auteur : Jack DIOP
2. Version texte : « Le Pactole de Rebeuss. La Face cachée de l’AIDSBERG » tirée du film du même nom, qui est une adaptation du livre : « Le sida vaincu ».
Auteur et réalisateur : Jack DIOP

LES TEMOINS :
Maître Ousmane NGOM
Monsieur Victor KANTOUSSAN
Maître Bassirou MBACKE
Maître Cheikh Tidiane SY
Maître Abdoulaye WADE
Docteur Maodo SECK
Monsieur Latif COULIBALY
Monsieur Sidy KOUNTA
Monsieur Mbaye KOULIBALY
Monsieur Amath DANSOKHO
Maître El Hadji DIOUF
Monsieur Cheikh Tidiane GADIO
Monsieur et Madame Abdoulaye BALDE
Monsieur Soro DIOP
Professeur Eva Coll SECK
Monsieur Pape DIOP
Monsieur Kader SOW
Le Colonel DRAME et son équipe de la Direction de la Recherche Scientifique
Autres…..
Recevez Monsieur le Procureur, mes sincères considérations, en espérant que ce dossier des « fonds politiques » détenus par Idrissa SECK sera vidé une fois pour toutes et que la justice ira jusqu’au bout afin que le Sénégal puisse repartir sur de nouvelles bases très solides.

Jack DIOP. « Le pactole de rebeusse la face cachée de l’AIDSberg »

5.Posté par Balla Sall le 20/08/2014 22:09
Ce monsieur doit certainement être un pensionnaire de l'hôpital psychiatrique de Thiaroye.Comment peut on s'enrichir d'un remède dont la composition n'est connue que par son inventeur et de surcroît non encore disponible dans le marché pharmaceutique .Le procureur a bien fait de classer ce dossier sans suite,parce que sans objet.JACQUES l'É(in)VENTEUR, si tu veux faire fructifier tes intestins pour ne pas dire invention de mes couilles,je te conseille de travailler sur le virus Ebola ,là certainement tu n'auras pas à chercher ton cobaye pour l'expérimentation ,il est tout juste à coté,c'est ton commanditaire.



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