Le Pr Malick Ndiaye lâche une nouvelle bombe sur le Macky. Après son livre «Où va la République» qui a défrayé la chronique et secoué le Macky, le voilà qui revient à la charge avec un nouveau livre qui sort aujourd’hui même à Paris. «La seconde alternance sénégalaise à l’épreuve de l’impunité - Equation Karim Wade et Hissein Habré, Crei et Cae» (L’harmattan).
Dans la 4e page de couverture, l’auteur donne le ton en présentant son ouvrage : «Selon toute vraisemblance, et au vu du sentiment des citoyens et des observateurs, de même que les attentes des acteurs de la Seconde Alternance, puis au regard des documents de la Partie civile comme de la Défense, - sans oublier la mise en demeure du Groupe de travail des Nations Unies au Gouvernement du Sénégal -, la chose suivante ne fait pas l’ombre d’un doute : l’impunité a de beaux jours devant elle au Sénégal et en Afrique, de même que l’opacité et le manque de transparence». «En particulier, poursuit-il, dans ce qu’il est convenu d’appeler avec beaucoup d’euphémisme, de litote ou d’humour, les « affaires » Karim Wade et Hissein Habré, impliquant respectivement la Cour de répression de l’enrichissement Illicite (Crei) et les Chambres africaines extraordinaires (Cae). De fait, quoique ces deux organismes, dont le premier procède des autorités sénégalaises en croisade contre l’Impunité des fautes de gestion et pour la reddition des comptes, et le second de l’Union Africaine, qui stigmatise ainsi l’ostracisme de la Cpi et sa politique de « deux poids deux mesures » à l’endroit des Chefs d’État africains accusés de crimes contre l’Humanité, aient suscité des espoirs légitimes, au départ tout au moins, nous sommes encore bien loin du compte. Et pour cause ! Le « Procès du siècle » (Procès Karim Wade) et la « Première Continentale Mondiale » (Procès Hissein Habré) sont bien loin encore de tenir la gageure, lorsqu’on y regarde de très près, et ce, au-delà de l’hypermédiatisation qui semble dissimuler la dimension stratégique de la Gouvernance judiciaire au Sénégal, en Afrique et dans le monde, qui demeure la clé et de toute démocratie et de tout développement actuel et à venir».
Dans la 4e page de couverture, l’auteur donne le ton en présentant son ouvrage : «Selon toute vraisemblance, et au vu du sentiment des citoyens et des observateurs, de même que les attentes des acteurs de la Seconde Alternance, puis au regard des documents de la Partie civile comme de la Défense, - sans oublier la mise en demeure du Groupe de travail des Nations Unies au Gouvernement du Sénégal -, la chose suivante ne fait pas l’ombre d’un doute : l’impunité a de beaux jours devant elle au Sénégal et en Afrique, de même que l’opacité et le manque de transparence». «En particulier, poursuit-il, dans ce qu’il est convenu d’appeler avec beaucoup d’euphémisme, de litote ou d’humour, les « affaires » Karim Wade et Hissein Habré, impliquant respectivement la Cour de répression de l’enrichissement Illicite (Crei) et les Chambres africaines extraordinaires (Cae). De fait, quoique ces deux organismes, dont le premier procède des autorités sénégalaises en croisade contre l’Impunité des fautes de gestion et pour la reddition des comptes, et le second de l’Union Africaine, qui stigmatise ainsi l’ostracisme de la Cpi et sa politique de « deux poids deux mesures » à l’endroit des Chefs d’État africains accusés de crimes contre l’Humanité, aient suscité des espoirs légitimes, au départ tout au moins, nous sommes encore bien loin du compte. Et pour cause ! Le « Procès du siècle » (Procès Karim Wade) et la « Première Continentale Mondiale » (Procès Hissein Habré) sont bien loin encore de tenir la gageure, lorsqu’on y regarde de très près, et ce, au-delà de l’hypermédiatisation qui semble dissimuler la dimension stratégique de la Gouvernance judiciaire au Sénégal, en Afrique et dans le monde, qui demeure la clé et de toute démocratie et de tout développement actuel et à venir».
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