Le directeur général des finances, Mamadou Moustapha Ba, a indiqué, samedi à Dakar, que les perspectives budgétaires pour 2015, coïncidant avec la première année de mise en œuvre du Plan Sénégal émergent (PSE) sont ‘’reluisantes’’.
‘’La loi de finances 2015 a été élaboré en parfaite cohérence avec le PSE’’, a souligné, d’emblée M. Ba.
Avec des chiffres à l’appui, il a expliqué aux leaders, députés aux responsables promus à des responsabilités au nom de la coalition Bennoo Siggil Senegaal (BSS) comment la première année d’application du PSE a été budgétisée dans la loi de finances 2015.
D’après ce haut fonctionnaire du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, le Sénégal table sur une croissance de 4,6%, contre 3,6% l’année dernière et sur une inflation maîtrisée de l’ordre moins 2%.
De l’avis toujours du directeur général des finances, ''le service de la dette a été ramené à ''des proportions soutenables par le budget à hauteur de 65 milliards de francs par mois, soit prés de 680 milliards par an''.
Au même moment, le niveau d’endettement du pays ''est de moins de 60%'', grâce, a-t-il indiqué, à la ‘’politique macro-économique vertueuse du gouvernement’’.
Parlant du niveau de mobilisation des ressources financières pour la mise œuvre des 27 projets phares du PSE, M. Ba a souligné que les 71% seront constitués de recettes fiscales.
Selon lui, le montant des conventions déjà signées avec les partenaires financiers et techniques, depuis le Club de Paris, s’élève à prés de 1.283 milliards de francs CFA, soit 34% des engagements.
A cela, il faut ajouter prés de 405 milliards de francs d’aide publique au développement et celles à venir pour la réalisation de l’autoroute Thiès-Touba avec les Chinois et pour l’électrification rurale avec la Banque ouest-africaine de développement (BOAD).
En outre, le directeur général des finances a révélé que le gouvernement a procédé à une’’ restructuration du budget 2015 ‘’pour extirper toutes les dépenses improductives comme les subventions et les appuis institutionnel, de la ligne des crédits destinés à l’investissement.
C’est ainsi que, d’après M. Ba, 165 milliards de francs ont été affectés au programme d’autosuffisance en riz et 18 milliards au parc industriel de Diamniadio.
A cela s'ajoutent les 52 milliards de francs de réserve de précaution pour le financement d’autres projets dont les études d’impact restent à être finalisées.
Il s’agit notamment du tramway Dakar-Diamniadio, du chemin de fer-express Dakar-aéroport international Blaise Diagne de Diass, entre autres.
‘’La loi de finances 2015 a été élaboré en parfaite cohérence avec le PSE’’, a souligné, d’emblée M. Ba.
Avec des chiffres à l’appui, il a expliqué aux leaders, députés aux responsables promus à des responsabilités au nom de la coalition Bennoo Siggil Senegaal (BSS) comment la première année d’application du PSE a été budgétisée dans la loi de finances 2015.
D’après ce haut fonctionnaire du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan, le Sénégal table sur une croissance de 4,6%, contre 3,6% l’année dernière et sur une inflation maîtrisée de l’ordre moins 2%.
De l’avis toujours du directeur général des finances, ''le service de la dette a été ramené à ''des proportions soutenables par le budget à hauteur de 65 milliards de francs par mois, soit prés de 680 milliards par an''.
Au même moment, le niveau d’endettement du pays ''est de moins de 60%'', grâce, a-t-il indiqué, à la ‘’politique macro-économique vertueuse du gouvernement’’.
Parlant du niveau de mobilisation des ressources financières pour la mise œuvre des 27 projets phares du PSE, M. Ba a souligné que les 71% seront constitués de recettes fiscales.
Selon lui, le montant des conventions déjà signées avec les partenaires financiers et techniques, depuis le Club de Paris, s’élève à prés de 1.283 milliards de francs CFA, soit 34% des engagements.
A cela, il faut ajouter prés de 405 milliards de francs d’aide publique au développement et celles à venir pour la réalisation de l’autoroute Thiès-Touba avec les Chinois et pour l’électrification rurale avec la Banque ouest-africaine de développement (BOAD).
En outre, le directeur général des finances a révélé que le gouvernement a procédé à une’’ restructuration du budget 2015 ‘’pour extirper toutes les dépenses improductives comme les subventions et les appuis institutionnel, de la ligne des crédits destinés à l’investissement.
C’est ainsi que, d’après M. Ba, 165 milliards de francs ont été affectés au programme d’autosuffisance en riz et 18 milliards au parc industriel de Diamniadio.
A cela s'ajoutent les 52 milliards de francs de réserve de précaution pour le financement d’autres projets dont les études d’impact restent à être finalisées.
Il s’agit notamment du tramway Dakar-Diamniadio, du chemin de fer-express Dakar-aéroport international Blaise Diagne de Diass, entre autres.
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