Dans une entrevue que le représentant de l’UNESCO a accordée ce matin à la presse, Michel Kenmoe a apprécié leur partenariat avec le centre de formation judiciaire pour l’organisation de cet atelier portant sur l’intelligence artificielle et l'État de droit tenu, ce mardi 25 février 2025.
Selon le conseiller pour la communication et l’information au bureau régional en Afrique de l'Ouest, cet atelier bénéficie à plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest et du Sahel. Cette initiative fait suite à une recommandation sur les Tics et l’Intelligence artificielle adoptée par l’UNESCO en 2021. En plus des potentiels, il affirme que l’intelligence artificielle présente beaucoup d’opportunités dans tous les secteurs, en particulier sur le plan judiciaire. C’est pour cela qu’il a alerté sur les risques éventuels de l’IA. À en croire ses propos, 40% seulement des acteurs judiciaires se sont déclarés comme utilisateurs de l’intelligence artificielle dont 9% qui ont reçu une formation adéquate pour comprendre les enjeux et les défis. Raison pour laquelle, il considère cet accompagnement de l’UNESCO au CFJ comme une réponse pour combler le gap. Cependant, il souligne que l’intégration de l’IA dans le système judiciaire ne relève pas de l’Unesco en tant qu’organisation mais du rythme de chaque pays. Parce que pour lui, « une chose est sûre, l’intelligence artificielle au regard de son utilisation ne va pas attendre les pays ».
Selon le conseiller pour la communication et l’information au bureau régional en Afrique de l'Ouest, cet atelier bénéficie à plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest et du Sahel. Cette initiative fait suite à une recommandation sur les Tics et l’Intelligence artificielle adoptée par l’UNESCO en 2021. En plus des potentiels, il affirme que l’intelligence artificielle présente beaucoup d’opportunités dans tous les secteurs, en particulier sur le plan judiciaire. C’est pour cela qu’il a alerté sur les risques éventuels de l’IA. À en croire ses propos, 40% seulement des acteurs judiciaires se sont déclarés comme utilisateurs de l’intelligence artificielle dont 9% qui ont reçu une formation adéquate pour comprendre les enjeux et les défis. Raison pour laquelle, il considère cet accompagnement de l’UNESCO au CFJ comme une réponse pour combler le gap. Cependant, il souligne que l’intégration de l’IA dans le système judiciaire ne relève pas de l’Unesco en tant qu’organisation mais du rythme de chaque pays. Parce que pour lui, « une chose est sûre, l’intelligence artificielle au regard de son utilisation ne va pas attendre les pays ».
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