Dans le quartier populaire de Bagdad, à Guédiawaye, un drame familial secoue la communauté. I. Diallo, quadragénaire célibataire et frère utérin de la mère, est accusé d’avoir violé à répétition ses deux nièces, âgées de 13 et 11 ans, selon un rapport exclusif du quotidien L’Observateur. Arrêté le 8 février et déféré ce mercredi au parquet pour viols et pédophilie sur mineures, l’homme incarne aujourd’hui l’effondrement d’un silence complice, brisé par le courage de deux enfants.
Le Déclic : Du Changement de Comportement à la Révélation
Tout commence le 2 février, lorsque Z. Diallo, père de famille et commerçant, remarque un changement inquiétant chez sa fille aînée, A. Diallo, 13 ans. D’habitude joyeuse et réservée, la jeune adolescente adopte soudain un langage cru et un style vestimentaire provocant. Alertée, la famille entame discrètement une enquête. Mais c’est sa mère qui découvrira l’indicible : retrouvant A. Diallo terrassée par des douleurs abdominales, elle la conduit d’urgence à l’hôpital. Le diagnostic est sans appel : des "déchirures hyménales anciennes", signes de violences sexuelles répétées.
Sous le choc, la jeune fille révèle alors, entre sanglots, les agressions commises par son oncle. "Il m’a menacée, hurlé de me déshabiller… J’ai ressenti une douleur atroce", confie-t-elle aux enquêteurs, citée par L’Observateur. Elle dénonce aussi les attouchements subis par sa sœur cadette, F. Diallo, 11 ans, contrainte au silence par les menaces de l’homme.
Un Cercle Familial Ébranlé : Entre Tentative d’Étouffement et Plainte
Si la famille Diallo-Bâ a d’abord cherché à étouffer l’affaire pour préserver son honneur, la gravité des fails a rendu l’omerta impossible. Le 2 février, jour du dernier viol, les parents portent plainte au commissariat de Guédiawaye. Dans leur récit, les fillettes décrivent un calvaire méthodique : I. Diallo profitait de leur vulnérabilité, les convoquant sous prétexte de courses ou de tâches ménagères pour les agresser. "À chaque fois que j’entrais dans sa chambre, il me touchait…", murmure F. Diallo, 11 ans, lors de son audition.
Justice en Marche : Arrestation et Procédure
Recherché activement, I. Diallo est interpellé le 8 février. Placé en garde à vue. Son transfèrement au parquet ce mercredi marque une étape cruciale. "Les preuves médicales et les témoignages des victimes sont accablants", souligne une source judiciaire proche du dossier.
Alors que I. Diallo attend son jugement, les deux nièces, prises en charge par des services sociaux, tentent de reconstruire leur innocence volée. L’Observateur révèle ici un drame qui, loin d’être isolé, appelle à une vigilance collective contre l’impunité des prédateurs.
Le Déclic : Du Changement de Comportement à la Révélation
Tout commence le 2 février, lorsque Z. Diallo, père de famille et commerçant, remarque un changement inquiétant chez sa fille aînée, A. Diallo, 13 ans. D’habitude joyeuse et réservée, la jeune adolescente adopte soudain un langage cru et un style vestimentaire provocant. Alertée, la famille entame discrètement une enquête. Mais c’est sa mère qui découvrira l’indicible : retrouvant A. Diallo terrassée par des douleurs abdominales, elle la conduit d’urgence à l’hôpital. Le diagnostic est sans appel : des "déchirures hyménales anciennes", signes de violences sexuelles répétées.
Sous le choc, la jeune fille révèle alors, entre sanglots, les agressions commises par son oncle. "Il m’a menacée, hurlé de me déshabiller… J’ai ressenti une douleur atroce", confie-t-elle aux enquêteurs, citée par L’Observateur. Elle dénonce aussi les attouchements subis par sa sœur cadette, F. Diallo, 11 ans, contrainte au silence par les menaces de l’homme.
Un Cercle Familial Ébranlé : Entre Tentative d’Étouffement et Plainte
Si la famille Diallo-Bâ a d’abord cherché à étouffer l’affaire pour préserver son honneur, la gravité des fails a rendu l’omerta impossible. Le 2 février, jour du dernier viol, les parents portent plainte au commissariat de Guédiawaye. Dans leur récit, les fillettes décrivent un calvaire méthodique : I. Diallo profitait de leur vulnérabilité, les convoquant sous prétexte de courses ou de tâches ménagères pour les agresser. "À chaque fois que j’entrais dans sa chambre, il me touchait…", murmure F. Diallo, 11 ans, lors de son audition.
Justice en Marche : Arrestation et Procédure
Recherché activement, I. Diallo est interpellé le 8 février. Placé en garde à vue. Son transfèrement au parquet ce mercredi marque une étape cruciale. "Les preuves médicales et les témoignages des victimes sont accablants", souligne une source judiciaire proche du dossier.
Alors que I. Diallo attend son jugement, les deux nièces, prises en charge par des services sociaux, tentent de reconstruire leur innocence volée. L’Observateur révèle ici un drame qui, loin d’être isolé, appelle à une vigilance collective contre l’impunité des prédateurs.
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