La mise sous mandat de dépôt de Jérôme Bandiaky, surnommé « Sniper », entraîne des répercussions dramatiques pour sa famille. En effet, sa femme a reçu une notification pour quitter l’appartement de fonction qu’elle occupe en centre-ville, une décision prise par la justice sénégalaise qui ne fait qu’ajouter aux tumultes de cette affaire.
Le placement sous mandat de dépôt de Jérôme Bandiaky, ancien garde du corps d’Aminata Touré, n’est pas sans conséquences. Selon Les Échos, la justice a décidé d’expulser sa famille de l’appartement de fonction qu’elle occupe toujours. La notification leur a été remise hier, une nouvelle difficile à digérer pour l’épouse de “Sniper”.
Bandiaky fait face à une série d’accusations graves, notamment l’usurpation de fonction et l’escroquerie au préjudice de l’État. Le Parquet a indiqué que son occupation illégale de cet appartement est liée à une fonction qu’il aurait usurpée. Cette décision de récupérer la villa, qui était jusqu’alors occupée par la famille Bandiaky, a été prise par le juge d’instruction chargé de l’affaire.
Inculpé en septembre dernier, Jérôme Bandiaky est accusé de détention d’armes et de munitions sans autorisation administrative, ainsi que d’autres infractions liées à la fraude à l’égard de l’État. Bien qu’il ait été placé sous mandat de dépôt, "Sniper" a toujours nié les faits, sauf en ce qui concerne la possession de l’arme. Il affirme que l’appartement et son passeport diplomatique lui ont été accordés par les autorités lorsqu’il exerçait ses fonctions de garde rapproché.
Les avocats de Bandiaky se disent confiants quant à l’issue de l’instruction, estimant que les accusations portées par le procureur ne reposent pas sur des bases solides. Ils soutiennent que la défense démontrera que Bandiaky n’a pas agi de son propre chef pour obtenir ces privilèges.
Alors que l’instruction est toujours en cours et que l’audition de Bandiaky n’a pas encore été programmée, la situation ne fait que se détériorer pour l’ancien garde du corps, qui doit maintenant faire face à la perte de son logement et aux conséquences d’une incarcération qui pèse lourdement sur sa famille.
L’affaire Bandiaky ne fait que commencer, et chaque nouveau développement promet d’être suivi de près par l’opinion publique et les médias, soulignant l’impact des décisions judiciaires sur la vie personnelle des individus impliqués.
Le placement sous mandat de dépôt de Jérôme Bandiaky, ancien garde du corps d’Aminata Touré, n’est pas sans conséquences. Selon Les Échos, la justice a décidé d’expulser sa famille de l’appartement de fonction qu’elle occupe toujours. La notification leur a été remise hier, une nouvelle difficile à digérer pour l’épouse de “Sniper”.
Bandiaky fait face à une série d’accusations graves, notamment l’usurpation de fonction et l’escroquerie au préjudice de l’État. Le Parquet a indiqué que son occupation illégale de cet appartement est liée à une fonction qu’il aurait usurpée. Cette décision de récupérer la villa, qui était jusqu’alors occupée par la famille Bandiaky, a été prise par le juge d’instruction chargé de l’affaire.
Inculpé en septembre dernier, Jérôme Bandiaky est accusé de détention d’armes et de munitions sans autorisation administrative, ainsi que d’autres infractions liées à la fraude à l’égard de l’État. Bien qu’il ait été placé sous mandat de dépôt, "Sniper" a toujours nié les faits, sauf en ce qui concerne la possession de l’arme. Il affirme que l’appartement et son passeport diplomatique lui ont été accordés par les autorités lorsqu’il exerçait ses fonctions de garde rapproché.
Les avocats de Bandiaky se disent confiants quant à l’issue de l’instruction, estimant que les accusations portées par le procureur ne reposent pas sur des bases solides. Ils soutiennent que la défense démontrera que Bandiaky n’a pas agi de son propre chef pour obtenir ces privilèges.
Alors que l’instruction est toujours en cours et que l’audition de Bandiaky n’a pas encore été programmée, la situation ne fait que se détériorer pour l’ancien garde du corps, qui doit maintenant faire face à la perte de son logement et aux conséquences d’une incarcération qui pèse lourdement sur sa famille.
L’affaire Bandiaky ne fait que commencer, et chaque nouveau développement promet d’être suivi de près par l’opinion publique et les médias, soulignant l’impact des décisions judiciaires sur la vie personnelle des individus impliqués.
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