On imagine la stupéfaction de la firme Boeing ce mardi matin, lorsque le conseil d’administration a découvert, dans un tweet, la préconisation de Donald Trump : « Les coûts sont hors de contrôle pour la construction des 747 présidentiels. Il faut annuler la commande ! »
Nous avons bien lu, le président élu est venu devant la tour Trump confirmer sa colère contre l’avionneur américain. « Le contrat est complètement hors de contrôle, plus de 4 milliards de dollars pour Air Force One ! Je pense que c’est ridicule, Boeing force sur la note. Nous voulons que Boeing gagne de l’argent, mais pas autant que ça. »
Donald Trump se déplace jusqu’à présent dans son avion personnel, mais cela ne pourra pas durer. Or les Boeing présidentiels actuels sont en service depuis presque 30 ans, un contrat de 3 milliards de dollars a donc été passé en début d’année entre le Pentagone et l’avionneur.
Un contrat pour le renouvellement de ces appareils suréquipés, qui assurent la sécurité du président en vol. Des 747 blindés, qui permettent au président de travailler comme dans le Bureau ovale, brouillent les communications, font office de centres de commande en cas de guerre et peuvent être ravitaillés en vol. La firme Boeing ne commente pas pour l’instant, l’action a immédiatement chuté.
Nous avons bien lu, le président élu est venu devant la tour Trump confirmer sa colère contre l’avionneur américain. « Le contrat est complètement hors de contrôle, plus de 4 milliards de dollars pour Air Force One ! Je pense que c’est ridicule, Boeing force sur la note. Nous voulons que Boeing gagne de l’argent, mais pas autant que ça. »
Donald Trump se déplace jusqu’à présent dans son avion personnel, mais cela ne pourra pas durer. Or les Boeing présidentiels actuels sont en service depuis presque 30 ans, un contrat de 3 milliards de dollars a donc été passé en début d’année entre le Pentagone et l’avionneur.
Un contrat pour le renouvellement de ces appareils suréquipés, qui assurent la sécurité du président en vol. Des 747 blindés, qui permettent au président de travailler comme dans le Bureau ovale, brouillent les communications, font office de centres de commande en cas de guerre et peuvent être ravitaillés en vol. La firme Boeing ne commente pas pour l’instant, l’action a immédiatement chuté.
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