Au Sénégal sur l’invitation du Centre for Advanced Studies & Research in Project, Programme, and Portfolio Management (CASR 3PM), le Docteur Mahamouda Salouhou, Phd Professeur de leadership et entrepreneurship est d’avis que la création d’entreprise n’a pas besoin d’être boostée en Afrique, puisque dans la rue « tout le monde est entrepreneur ».
Selon lui plutôt il faut travailler avec cette jeunesse qui demande à être encadrée et formée dans des métiers qui pourraient aboutir à de l’employabilité pour l’Afrique. « La création d’entreprise n’a pas besoin d’être boostée en Afrique. Il suffit simplement de se promener dans la rue pour voir des entrepreneurs. Notre challenge aujourd’hui, c’est que l’entrepreneuriat en Afrique se focalise sur la survie », indiquera t-il. Avant d’ajouter : « quand on regarde la démographie, elle est en chute en Europe, alors qu'en Afrique elle est en croissance, et quand on regarde les données en Europe on a 2 000 postes qui ne sont pas pourvus. En Afrique, nous avons une jeunesse qui demande à être encadrée et formée dans des métiers qui pourraient aboutir à de l’employabilité pour l’Afrique. Il y a des capacités, il faut travailler avec la main d’œuvre locale, et à nous responsables éducatifs de faire notre métier ».
Il a par ailleurs noté que les Africains doivent entreprendre et acheter pour pouvoir survivre et nourrir leurs familles.
Selon lui plutôt il faut travailler avec cette jeunesse qui demande à être encadrée et formée dans des métiers qui pourraient aboutir à de l’employabilité pour l’Afrique. « La création d’entreprise n’a pas besoin d’être boostée en Afrique. Il suffit simplement de se promener dans la rue pour voir des entrepreneurs. Notre challenge aujourd’hui, c’est que l’entrepreneuriat en Afrique se focalise sur la survie », indiquera t-il. Avant d’ajouter : « quand on regarde la démographie, elle est en chute en Europe, alors qu'en Afrique elle est en croissance, et quand on regarde les données en Europe on a 2 000 postes qui ne sont pas pourvus. En Afrique, nous avons une jeunesse qui demande à être encadrée et formée dans des métiers qui pourraient aboutir à de l’employabilité pour l’Afrique. Il y a des capacités, il faut travailler avec la main d’œuvre locale, et à nous responsables éducatifs de faire notre métier ».
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