Une vive émotion secoue la commune religieuse de Darou Moukhty après le placement en garde à vue puis le déferrement au parquet de Louga de Cheikh Faye, maître coranique et imam respecté de la localité.
Le religieux a été interpellé à la suite d’accusations formulées par certains de ses élèves, qui auraient contacté la gendarmerie en son absence pour dénoncer des sévices présumés. Cette arrestation a déclenché une vague de protestations spontanées dans la commune.
Une foule nombreuse s’est rapidement rassemblée devant la brigade de gendarmerie locale, récitant des xassidas de Serigne Touba en signe de soutien au maître coranique. Des chants, des prières et des slogans ont ponctué cette mobilisation populaire.
L’un des manifestants, interpellé par DakarActu, de déclarer avec ferveur:
« Nous ne sommes pas des pierres, mais des poèmes de Serigne Touba. Cette arrestation est injuste. Il n’est pas normal de croire sans discernement les dires d’enfants qui refusent d’apprendre et d’envoyer en prison un imam, une figure de référence. »
L’annince du déferrement de Cheikh Faye a provoqué des crises de larmes et d’hystérie parmi les personnes venues nombreuses devant la brigade de gendarmerie. Hommes et femmes, émus, n’ont pu contenir leur douleur lorsque le pickup transportant Cheikh Faye s’est ébranlé vers Louga. Face à ce qu’ils considèrent comme une atteinte à une figure religieuse emblématique, ils ont fébrilement accompagné des yeux ce voyage vers la prison .
Le religieux a été interpellé à la suite d’accusations formulées par certains de ses élèves, qui auraient contacté la gendarmerie en son absence pour dénoncer des sévices présumés. Cette arrestation a déclenché une vague de protestations spontanées dans la commune.
Une foule nombreuse s’est rapidement rassemblée devant la brigade de gendarmerie locale, récitant des xassidas de Serigne Touba en signe de soutien au maître coranique. Des chants, des prières et des slogans ont ponctué cette mobilisation populaire.
L’un des manifestants, interpellé par DakarActu, de déclarer avec ferveur:
« Nous ne sommes pas des pierres, mais des poèmes de Serigne Touba. Cette arrestation est injuste. Il n’est pas normal de croire sans discernement les dires d’enfants qui refusent d’apprendre et d’envoyer en prison un imam, une figure de référence. »
L’annince du déferrement de Cheikh Faye a provoqué des crises de larmes et d’hystérie parmi les personnes venues nombreuses devant la brigade de gendarmerie. Hommes et femmes, émus, n’ont pu contenir leur douleur lorsque le pickup transportant Cheikh Faye s’est ébranlé vers Louga. Face à ce qu’ils considèrent comme une atteinte à une figure religieuse emblématique, ils ont fébrilement accompagné des yeux ce voyage vers la prison .
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