Lors d’une Assemblée générale, tenue ce samedi, la Fédération départementale de l’Alliance des forces de progrès (Afp) de Foundiougne a pris une décision qui risque de donner des sueurs froides à Moustapha Niasse et nombre de responsables de son parti qui lui sont restés fidèles. En effet, en prenant la ferme décision d’exclure de leurs rangs Malick Gackou, ci-devant numéro 2 de ce parti politique et tant d’autres responsables, l’actuel président de l’Assemblée nationale et ses ouailles croyaient avoir fini de soigner une plaie restée béante de- puis plusieurs mois.
Ce qui est loin d’être le cas.
Et pour cause, Abdoulaye Thiam, qui pilote la fédération progressiste de Foundiougne et ses camarades ont décidé de se démarquer totalement de la direction nationale sur la lancinante question liée à la non-candidature de leur formation politique en perspective de la présidentielle de 2017. «A l’exception de deux (02) sections, toutes les dix-sept (17) autres présentes à cette assemblée générale et nous avons discuté ensemble et avons arrêté que l’Alliance des forces de progrès (Afp) doit avoir impérativement son candidat à la présidentielle de 2017», a clamé Abdoulaye Thiam, président de ladite fédération.
Avant d’ajouter, à travers un document dont nous avons reçu copie, «seul le congrès peut décider de présenter ou de ne pas présenter un candidat à la présidentielle de 2017». Une manière pour M. Thiam de rejoindre le camp des ‘’rebelles’’ qui ont en ligne de mire ce rendez-vous électoral d’une importance capitale.
Démontrant au passage que leur participation à ces échéances électorales ne fait l’objet d’aucune contestation, il indique : «Notre fédération est prête à soutenir tout candidat progressiste apte à porter le projet de société de l’Alliance des forces de progrès (Afp) qu’il soit Malick Gackou ou un autre candidat».
Une prise de position qui a fait réagir Ousmane Daffé, membre de cette fédération. «Nous avons pris une décision majeure lors de cette assemblée générale. C’est une manière pour nous de dire que Malick Gackou est loin d’être la personnalité qui est au cœur du problème que traverse le parti. Nous sommes tous conscients que des décisions impopulaires ne peuvent pas passer comme lettre à la poste. Il faut respecter les textes et statuts du parti», souligne-t-il.
Non sans défendre dans un entretien avec Libération : «Notre position est très claire et rien ni personne ne pourra nous en écarter. Les menaces ne peuvent pas passer et ne passeront pas. Cela est certain».
Ce qui est loin d’être le cas.
Et pour cause, Abdoulaye Thiam, qui pilote la fédération progressiste de Foundiougne et ses camarades ont décidé de se démarquer totalement de la direction nationale sur la lancinante question liée à la non-candidature de leur formation politique en perspective de la présidentielle de 2017. «A l’exception de deux (02) sections, toutes les dix-sept (17) autres présentes à cette assemblée générale et nous avons discuté ensemble et avons arrêté que l’Alliance des forces de progrès (Afp) doit avoir impérativement son candidat à la présidentielle de 2017», a clamé Abdoulaye Thiam, président de ladite fédération.
Avant d’ajouter, à travers un document dont nous avons reçu copie, «seul le congrès peut décider de présenter ou de ne pas présenter un candidat à la présidentielle de 2017». Une manière pour M. Thiam de rejoindre le camp des ‘’rebelles’’ qui ont en ligne de mire ce rendez-vous électoral d’une importance capitale.
Démontrant au passage que leur participation à ces échéances électorales ne fait l’objet d’aucune contestation, il indique : «Notre fédération est prête à soutenir tout candidat progressiste apte à porter le projet de société de l’Alliance des forces de progrès (Afp) qu’il soit Malick Gackou ou un autre candidat».
Une prise de position qui a fait réagir Ousmane Daffé, membre de cette fédération. «Nous avons pris une décision majeure lors de cette assemblée générale. C’est une manière pour nous de dire que Malick Gackou est loin d’être la personnalité qui est au cœur du problème que traverse le parti. Nous sommes tous conscients que des décisions impopulaires ne peuvent pas passer comme lettre à la poste. Il faut respecter les textes et statuts du parti», souligne-t-il.
Non sans défendre dans un entretien avec Libération : «Notre position est très claire et rien ni personne ne pourra nous en écarter. Les menaces ne peuvent pas passer et ne passeront pas. Cela est certain».
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