« l’opposition est antidémocratique » ( Babacar Gaye, porte-parole du PDS )


« l’opposition est antidémocratique » ( Babacar Gaye, porte-parole du PDS )
DAKARACTU.COM Le porte-parole du Parti démocratique sénégalais ne comprend pas les exigences de l’opposition relatives au retrait de la candidature du président Wade pour 2012.

Babacar Gaye pense que l’opposition doit revoir les conditions qu’elle a posées pour le dialogue politique.

« La candidature du président Wade, c’est un débat qui ne se pose pas. Il appartient à mon parti, à notre majorité, d’investir un candidat. L’opposition n’a pas pour vocation d’invalider une candidature. Seul le Conseil constitutionnel est habilité à trancher. Je trouve cette requête antidémocratique, elle n’est pas pertinente donc elle ne doit pas faire l’objet de discussion » a déclaré Babacar Gaye.

Avant de réitérer le choix porté sur la personne d’Abdoulaye Wade pour être le candidat du Pds et de ses alliés.
Mercredi 13 Juillet 2011
DAKAR ACTU




1.Posté par SALIOU DIENG"ZAL" TAMBA le 13/07/2011 11:11
Mr Gaye vous étes vraiment décevant et vous ne méritez méme pas le titre de porte parole.On ne peut pas défendre l'indéfendable et la candidature de votre sg abdoulaye wade ne tient pas la route et le pays ne peut pas avoir à sa téte un vieillards de plus de 90 ans et fra maçon par excellence.

2.Posté par Sope wade le 13/07/2011 12:38
Me abdoulaye wade avait décidé de ne faire que 2 mandats mais ce sont les militants du pds qui l'ont investi ce qu' il ne pouvait refuser. En plus il est bien éligible pour un 3e mandat puisqu il n a fait qu un mandat de 5 ans. l objectif de l opposition c est de détourner l attention du peuple.

3.Posté par ndiax le 13/07/2011 13:32
BABACAR GAYE A PARFAITEMENT RAISON L4OPPOSITION NE DOIT PAS POSER DES CONDITIONS IMPOSSIBLES POUR DIALOGUER

4.Posté par ndiax le 13/07/2011 13:33
OUI WADE SERA CANDIDAT EN 2012 OUI LE PEUPLE VA VOTER WADE EN 2012 OUI WADE VA GAGNER EN 2012
OUI WADE SERA CANDIDAT EN 2012 OUI LE PEUPLE VA VOTER WADE EN 2012 OUI WADE VA GAGNER EN 2012
OUI WADE SERA CANDIDAT EN 2012 OUI LE PEUPLE VA VOTER WADE EN 2012 OUI WADE VA GAGNER EN 2012
OUI WADE SERA CANDIDAT EN 2012 OUI LE PEUPLE VA VOTER WADE EN 2012 OUI WADE VA GAGNER EN 2012

5.Posté par JOE le 13/07/2011 15:03
L'OPPOSITION N'A AUCUNE CULTURE RÉPUBLICAINE. COMMENT PEUVENT ILS SE PERMETTRE DE POSER DES CONDITIONS ANTIDÉMOCRATIQUES POUR DIALOGUER?

6.Posté par JOE le 13/07/2011 15:06
LE PEUPLE RÉCLAME LE TROISIÈME MANDAT DE WADE POUR UNE ÉMERGENCE ÉCONOMIQUE DÉFINITIVE

7.Posté par khalasse le 13/07/2011 15:46


Ou était ce monsieur entre 1988 et 1993? Rafraichissons-lui la mémoire

Quel citoyen sénégalais de l’époque 1988 ne se souvienne des actes de vandalisme, de casse des cabines téléphones publiques, de saccage des bus de la société d’Etat de transport public (Sotrac), de la destruction des feux de signalisation public des attentats à la voiture piégée ?

Et cette déclaration de Wade en 1988

« Le Bureau politique du Pds qui s’est réuni le lundi 13 août a donné mandat à son Secrétaire général pour négocier avec Abdou Diouf son départ dans des conditions honorables.»

Mars 1989. Abdoulaye Wade met en place une stratégie de déstabilisation efficace du régime socialiste. Il appelle le peuple à descendre dans les rues de la capitale, pour « accueillir » Abdou Diouf. Il préconise que le peuple se rende en masse à l’aéroport, afin de l’obliger à quitter le pouvoir.

Mars 1993, Abdoulaye Wade déclarait à ses électeurs et à ses militants : « Portez une majorité libérale à l’Assemblée nationale pour contraindre Diouf à se soumettre ou à se démettre. C‘est le pouvoir sans le Palais : mais le pouvoir réel car permettant de décider pour changer concrètement la vie des Sénégalais en attendant que soient réglés les autres.»
« Je ne donne aucun crédit aux décisions du Conseil constitutionnel qui se trouve sous l’influence des hommes de Abdou Diouf, en particulier, de son vice-président, Me Babacar Sèye, qui a été pendant longtemps, un député socialiste. Ce n’est pas sérieux. «
Une telle déclaration faisait suite à une autre, lancée par l’un de ses lieutenant, qui avertissait les juges et les invitait à préparer leur linceul, si jamais ils se trouvaient mêlés à des activités de fraudes, au cours des prochains scrutins.

Avril 1993, il tient un meeting à Diourbel, relaté dans les colonnes du « Soleil » du 30 avril 1993 : « Le Conseil constitutionnel n’est pas crédible et n’a pas à interpréter l’élection. L’élection c’est l’affaire des populations. Abdou Diouf étant candidat, n’avait pas à nommer le Président du Conseil qui se trouve être son homme. Son vice-président est un membre du parti socialiste c’est connu de tous. Ce qui est une véritable entorse à la Justice. Mais pour les élections législatives prochaines, la décision de cette institution ne sera pas reconnue. Je ne constaterai que la volonté populaire. Nous siégerons et au besoin, érigerons une Assemblée nationale parallèle. Car ce sont les Parlementaires qui devront défendre les intérêts du peuple ».
Il invite tous les partis et l’Etat, à s’asseoir autour d’une table, pour définir les conditions et les modalités de création d’un tribunal arbitral pour régler le contentieux électoral.

Mai 1993, le correspondant de Radio France International (Rfi), Nicolas Balique a été sauvagement agressé devant le domicile de Me Wade, pour avoir publié une information jugée désobligeante, par le Secrétaire national du Pds qui, sous prétexte, de donner un droit de réponse, à la suite de la diffusion de la dite information a fait venir à son domicile le journaliste de Rfi.
La suite des faits est stupéfiante. L’entretien a lieu dans une pièce attenante au grand salon situé à l’entrée du domicile de Me Wade et lui servant de bureau chez lui. Juste, quelques instants, avant la fin de l’interview, Me Wade quitte l’endroit où il reçoit le journaliste, pour venir trouver quelques militants agglutinés devant le portail de sa demeure. L’ordre donné par le maître des lieux est précis : « faites-lui sa fête. Ce dernier ne se doute de rien. Il prend congé de lui, mais dès qu’il franchit le seuil de la porte, Pape Samba Mboup le harponne et l’empoigne, avant de lui asséner un violent coup à la tête. Le journaliste titube, se ressaisit et parvient à fuir, poursuivi par une meute. Il réussit à s’échapper mais laisse sur place sa nagra et sa voiture. Celles-ci sont la proie des flammes et de la brutalité des militants. Le pays s’indigne et les condamnations fusent de partout.
Dans un communiqué rendu public et lu à la presse par Ousmane Ngom, le Pds admet de façon explicite la responsabilité de ses militants dans l’agression sauvage qui a failli coûter la vie à Nichola Balique. Ousmane Ngom laisse entendre, en présence des journalistes :
« L’agression a eu lieu le jeudi 13 mai devant le domicile du secrétaire national du Pds. Elle fait suite à la diffusion sur Rfi d’un information mensongère et selon laquelle, le patron du Pds aurait demandé au Président Abdou Diouf, la création d’un poste de Vice-Président et la formation d’un gouvernement de majorité présidentielle élargie ».

Pape Samba Mboup, ministre, actuel Chef de Cabinet du Président Abdoulaye Wade, a été arrêté et condamné pour avoir été identifié par la justice, comme étant le principal responsable de l’agression.


Seul le peuple est le souverain eternel







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