À l'occasion de la célébration de la fête du travail, la coalition des travailleurs de l'énergie, SYNTES / SUDETEN ont interpellé le chef de l'État et son gouvernement sur les inquiétudes du secteur notamment la filialisation, l'urgence de la réforme du secteur ainsi que la cherté du coût de l'électricité. "Actuellement, je dirais que notre principale doléance c'est de revisiter et d'essayer de revoir les objectifs et de faire une évaluation de cette réforme qui est en cours. C'est-à-dire la filialisation. Nous reposons cette question dans un nouveau contexte avec l'arrivée d'un nouveau président qui a annoncé une rupture systémique", a déclaré Al Hassan Ba, secrétaire général du SYNTES, estimant que l’arrivée du nouveau gouvernement est une bonne occasion pour la réforme qui a été longtemps une préoccupation des travailleurs de l'énergie.
Aussi, poursuit-il, "autres préoccupations, c'est que nous avons eu beaucoup d'inquiétudes sur la question de la filialisation. Pourquoi cette filialisation ? Est ce que ça rentre dans un cadre pour viabiliser le secteur de l'énergie?", s'interrogent Al Hassan Ba et ses camarades syndicalistes, soulignant qu'actuellement, des travailleurs se posent beaucoup de questions sur la filialisation. "Le coût de l'électricité est toujours cher. Les clients veulent avoir un courant vraiment supportable à moindre coût pour pouvoir relancer le secteur informel et en même temps le secteur industriel. Il est bon de résister de s'arrêter de faire l'état des lieux et de pouvoir avoir une nouvelle vision par rapport à la secteur la politique du secteur de l'énergie", a-t-il dit lors de la cérémonie qui s'est déroulée au Cap des Biches.
Aussi, poursuit-il, "autres préoccupations, c'est que nous avons eu beaucoup d'inquiétudes sur la question de la filialisation. Pourquoi cette filialisation ? Est ce que ça rentre dans un cadre pour viabiliser le secteur de l'énergie?", s'interrogent Al Hassan Ba et ses camarades syndicalistes, soulignant qu'actuellement, des travailleurs se posent beaucoup de questions sur la filialisation. "Le coût de l'électricité est toujours cher. Les clients veulent avoir un courant vraiment supportable à moindre coût pour pouvoir relancer le secteur informel et en même temps le secteur industriel. Il est bon de résister de s'arrêter de faire l'état des lieux et de pouvoir avoir une nouvelle vision par rapport à la secteur la politique du secteur de l'énergie", a-t-il dit lors de la cérémonie qui s'est déroulée au Cap des Biches.
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