Après ses recherches pour connecter les zones reculées à Internet avec des drones, des satellites et des lasers, Facebook s'attaque à améliorer également la connectivité dans des zones plus urbaines, avec deux nouveaux projets dévoilés mercredi.
"Nous recherchons des technologies qui vont rendre les choses 10 fois plus rapides, ou 10 fois moins chères, ou les deux", a assuré Jay Parikh, vice-président de Facebook en charge de l'ingénierie, en présentant les projets lors de la conférence annuelle du groupe pour les développeurs à San Francisco.
Une alternative à la fibre optique
Le réseau social a annoncé en particulier mercredi des tests pour un nouveau type de réseau d'Internet sans fil à haut débit et à faible coût baptisé Terragraph. Il est présenté comme une réponse possible à l'engorgement des réseaux mobiles du fait de la consommation croissante de photos et de vidéos en ligne aux résolutions toujours plus élevées, et une alternative à la fibre optique, qui permet certes des débits très élevés mais qui coûte trop cher à installer pour pouvoir être utilisée partout.
Terragraph repose sur un réseau de mini-antennes installées tous les 200 à 250 mètres sur des infrastructures publiques comme des réverbères, et utilisant des fréquences radio non utilisées actuellement en raison de leur faible portée. Facebook teste déjà cette technologie sur son campus de Menlo Park, et a annoncé mercredi un essai à plus large échelle dans la ville de San Jose, dans la Silicon Valley.
Un deuxième projet, baptisé ARIES, vise pour sa part à améliorer l'efficacité des antennes-relais cellulaires. Facebook le présente comme "une bonne solution pour les populations rurales parce qu'il peut gérer plus de personnes et sur des plus grandes distances" que les technologiques existantes.
"Nous recherchons des technologies qui vont rendre les choses 10 fois plus rapides, ou 10 fois moins chères, ou les deux", a assuré Jay Parikh, vice-président de Facebook en charge de l'ingénierie, en présentant les projets lors de la conférence annuelle du groupe pour les développeurs à San Francisco.
Une alternative à la fibre optique
Le réseau social a annoncé en particulier mercredi des tests pour un nouveau type de réseau d'Internet sans fil à haut débit et à faible coût baptisé Terragraph. Il est présenté comme une réponse possible à l'engorgement des réseaux mobiles du fait de la consommation croissante de photos et de vidéos en ligne aux résolutions toujours plus élevées, et une alternative à la fibre optique, qui permet certes des débits très élevés mais qui coûte trop cher à installer pour pouvoir être utilisée partout.
Terragraph repose sur un réseau de mini-antennes installées tous les 200 à 250 mètres sur des infrastructures publiques comme des réverbères, et utilisant des fréquences radio non utilisées actuellement en raison de leur faible portée. Facebook teste déjà cette technologie sur son campus de Menlo Park, et a annoncé mercredi un essai à plus large échelle dans la ville de San Jose, dans la Silicon Valley.
Un deuxième projet, baptisé ARIES, vise pour sa part à améliorer l'efficacité des antennes-relais cellulaires. Facebook le présente comme "une bonne solution pour les populations rurales parce qu'il peut gérer plus de personnes et sur des plus grandes distances" que les technologiques existantes.
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