Abordant la question du départ massif des jeunes vers l’Europe, le président du groupe parlementaire BBY, Me Oumar Youm, a justifié le phénomène de l’immigration irrégulière par des facteurs courants.
« C’est une pression sociale qui s’exerce sur la jeunesse. L’État doit prendre toutes ses dispositions pour que les jeunes puissent partir s’ils le veulent dans les meilleures conditions », a d’emblée soutenu le responsable politique lors de son passage à l’émission ‘’Face à Dakaractu’’.
Pour le député, l’attractivité des pays européens aussi est une cause des départs par la voie maritime et désertique.
« C’est cette forme de colonisation culturelle qui pousse certains à laisser leur travail pour tenter l’aventure. On doit davantage faire attention, orienter au maximum le buget vers la jeunesse. On doit accentuer les efforts de l’État », a plaidé Me Oumar Youm.
« C’est une pression sociale qui s’exerce sur la jeunesse. L’État doit prendre toutes ses dispositions pour que les jeunes puissent partir s’ils le veulent dans les meilleures conditions », a d’emblée soutenu le responsable politique lors de son passage à l’émission ‘’Face à Dakaractu’’.
Pour le député, l’attractivité des pays européens aussi est une cause des départs par la voie maritime et désertique.
« C’est cette forme de colonisation culturelle qui pousse certains à laisser leur travail pour tenter l’aventure. On doit davantage faire attention, orienter au maximum le buget vers la jeunesse. On doit accentuer les efforts de l’État », a plaidé Me Oumar Youm.
Autres articles
-
Thiès/ Anniversaire des 20 ans de l'ONITS: " Allou Kagne peut être un berceau du tourisme intégré"( Doudou Gnagna Diop).
-
Popenguine 2024/ L'évêque de Thiès sur le message du prochain pèlerinage: " Vivre pour que rien ne fasse obstacle à la justice et à la paix..."
-
Réformes institutionnelles: la société civile veut l’application du Pacte national de bonne gouvernance démocratique
-
Drames routiers: « Il faut multiplier les axes et aller vers les bateaux-taxis. » (Penda Mbow)
-
TOUBA - Cheikh Bass : « Nous savons que drainer l’eau du lac de Guiers ne peut se faire aussi rapidement, alors concentrez-vous sur celle de Touba Bogo »