L’université Cheikh Anta Diop est devenue depuis un temps un foyer de tensions entre étudiants et forces de l’ordre et cette crise s’est soldée par la mort de l’étudiant Bassirou Faye. Horizon sans frontières condamne ce crime qui n’honore pas notre pays qui est devenu un laboratoire de mixité en ce qui concerne les flux migratoires estudiantins dans le domaine de l’enseignement supérieur.
En effet la relation hautement exclusive qu’avait la France avec les pays africains dans le domaine de l’enseignement supérieur est entrain de s’effriter au bénéfice du Sénégal.
Un tel scenario ne devrait pas de se poser aujourd’hui d’ autant plus que les étudiants ont raison sur toute la ligne.
L’état providence avec l’octroi d’une bourse à chaque étudiant est bien possible à condition que l’état y mette sa volonté politique mais malheureusement la priorité est ailleurs.
Notre pays ,jadis vitrine de la démocratie en Afrique, est entrain de reculer en matière de droits humains : les libertés d’ expressions , les arrestations arbitraires et même le droit à la vie que stipule l’ article 3 de la déclaration universelle des droits de l’ homme du 10 décembre 1948 y sont bafoués .
Horizon sans frontières exige que toute la lumière soit faite sur le décès de l’étudiant et des sanctions exemplaires contre auteurs de ce crime.
Tout comme dans le dossier migratoire Horizon sans frontières dit non à la politisation des syndicats d’enseignements et soutien le SAES dans son mot d’ordre de grève jusqu’ à la démission des ministres impliqués dans ce crime.
Boubacar Sèye
Président d’Horizon sans frontières
En effet la relation hautement exclusive qu’avait la France avec les pays africains dans le domaine de l’enseignement supérieur est entrain de s’effriter au bénéfice du Sénégal.
Un tel scenario ne devrait pas de se poser aujourd’hui d’ autant plus que les étudiants ont raison sur toute la ligne.
L’état providence avec l’octroi d’une bourse à chaque étudiant est bien possible à condition que l’état y mette sa volonté politique mais malheureusement la priorité est ailleurs.
Notre pays ,jadis vitrine de la démocratie en Afrique, est entrain de reculer en matière de droits humains : les libertés d’ expressions , les arrestations arbitraires et même le droit à la vie que stipule l’ article 3 de la déclaration universelle des droits de l’ homme du 10 décembre 1948 y sont bafoués .
Horizon sans frontières exige que toute la lumière soit faite sur le décès de l’étudiant et des sanctions exemplaires contre auteurs de ce crime.
Tout comme dans le dossier migratoire Horizon sans frontières dit non à la politisation des syndicats d’enseignements et soutien le SAES dans son mot d’ordre de grève jusqu’ à la démission des ministres impliqués dans ce crime.
Boubacar Sèye
Président d’Horizon sans frontières
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