Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années. Pape Mamadou Guèye, 18 ans, en est presque l’illustration. Après deux années de dur labeur, le voilà à bord de sa PMG, nom qu’il a donné à la monoplace qu’il a conçue de ses propres mains.
Aujourd’hui, la voiture roule grâce au génie et à l’opiniâtreté de ce nouveau bachelier qui a su recycler des pièces d’automobile, parfois de moto pour donner corps à ses idées.
Alpha et Oméga de ce projet, Pape Mamadou Guèye a cependant dû compter sur la collaboration d’un soudeur métallique pour monter la carrosserie.
Sceptique au début, Moussa Sène, soudeur métallique de son état à Mermoz Pyrotechnie, est aujourd’hui fier d’avoir apporté sa touche à ce projet qui en est juste à son début.
Du chemin, il lui en reste. Le châssis doit être refait, la carrosserie est à parfaire. Il doit isoler l’intérieur, finir les installations électriques, monter les pares brises et les vitres sans oublier les rétroviseurs extérieurs. Le jeune fabricant va illico se remettre au travail pour finir ce chantier énorme.
Mais pour lui, il fallait poser ce premier jalon à l’image des grands créateurs.
Son rêve, nous a-t-il confié, ce n'est pas d’être le premier créateur de véhicule industriel mais de faire en sorte que le Sénégal, à l'image des pays développés, puisse fabriquer ses propres automobiles.
Qui veut voyager loin, ménage sa monture. C’est pour cette raison que ce jeune génie a, après l’obtention de son bac S2 cette année, fait le concours d’entrée à l’Ecole supérieure polytechnique de Dakar, option Génie Mécanique. Avec cette réalisation, il peut être sûr d’être un futur pensionnaire de cette prestigieuse école.
Aujourd’hui, la voiture roule grâce au génie et à l’opiniâtreté de ce nouveau bachelier qui a su recycler des pièces d’automobile, parfois de moto pour donner corps à ses idées.
Alpha et Oméga de ce projet, Pape Mamadou Guèye a cependant dû compter sur la collaboration d’un soudeur métallique pour monter la carrosserie.
Sceptique au début, Moussa Sène, soudeur métallique de son état à Mermoz Pyrotechnie, est aujourd’hui fier d’avoir apporté sa touche à ce projet qui en est juste à son début.
Du chemin, il lui en reste. Le châssis doit être refait, la carrosserie est à parfaire. Il doit isoler l’intérieur, finir les installations électriques, monter les pares brises et les vitres sans oublier les rétroviseurs extérieurs. Le jeune fabricant va illico se remettre au travail pour finir ce chantier énorme.
Mais pour lui, il fallait poser ce premier jalon à l’image des grands créateurs.
Son rêve, nous a-t-il confié, ce n'est pas d’être le premier créateur de véhicule industriel mais de faire en sorte que le Sénégal, à l'image des pays développés, puisse fabriquer ses propres automobiles.
Qui veut voyager loin, ménage sa monture. C’est pour cette raison que ce jeune génie a, après l’obtention de son bac S2 cette année, fait le concours d’entrée à l’Ecole supérieure polytechnique de Dakar, option Génie Mécanique. Avec cette réalisation, il peut être sûr d’être un futur pensionnaire de cette prestigieuse école.
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