L’honorable Député Cheikhou Oumar Sy a été choisi pour être le Point Focal de l’organisation internationale des législateurs, GLOBE INTERNATIONALE, au Sénégal. Déjà Secrétaire Exécutif du Réseau Parlementaire pour la Protection de l’Environnement du Sénégal (REPES,) et du réseau Parlementaire pour la Bonne Gouvernances des Ressources Minérales 5Réseau RGM), le défenseur de l’environnement a pris part à un panel de haut niveau intitulé « Examiner les liens entre la conception et la mise en œuvre législative dans le contexte de la primauté du droit de l'environnement ». L’honorable député a mis l’accent sur la nécessité de revoir les codes de l’environnement, minier et de la pêche sous l’angle des Accords de Paris en matière de protection de l’Environnement et de l’obligation des états du littoral ouest africain de mettre en place une convention sous régionale pour la protection du littoral atlantique.
Dans son intervention le député a mis en valeur les nouveaux droits à un environnement sain consacrés par la Constitution Sénégalaise adopté lors du Référendum du 20 Mars 2016 (la primauté du Droit Environnemental). Pour lui les Accords de Paris remettent en cause les Accords de Partenariat Economiques (APE) et les Accords de Pêche avec l’Union Européenne qui doivent aujourd’hui être revisités pour une meilleure prise en charge des questions liées au changement climatique et la conservation de la biodiversité.
Pour le Secrétaire du REPES, la croissance effrénée doit faire place au nouveau concept de prospérité partagée pour permettre la mise en place d’une politique de Développement durable viable.
Dans son intervention le député a mis en valeur les nouveaux droits à un environnement sain consacrés par la Constitution Sénégalaise adopté lors du Référendum du 20 Mars 2016 (la primauté du Droit Environnemental). Pour lui les Accords de Paris remettent en cause les Accords de Partenariat Economiques (APE) et les Accords de Pêche avec l’Union Européenne qui doivent aujourd’hui être revisités pour une meilleure prise en charge des questions liées au changement climatique et la conservation de la biodiversité.
Pour le Secrétaire du REPES, la croissance effrénée doit faire place au nouveau concept de prospérité partagée pour permettre la mise en place d’une politique de Développement durable viable.
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